vendredi 2 juin 2017

ex-infirmière

Ontario: une ex-infirmière plaide coupable pour le meurtre de huit aînés  L’ex-infirmière ontarienne Elizabeth Wettlaufer a plaidé coupable jeudi aux 14 chefs d’accusation qui pesaient contre elle, dont le meurtre prémédité de huit personnes âgées dont elle prenait soin dans des résidences pour aînés. Lors de sa comparution au palais de justice de Woodstock, en Ontario, Wettlaufer a dit comprendre avoir injecté de l’insuline à ses victimes sans avoir obtenu leur consentement, selon ce que rapporte le réseau Global News. Lorsque le juge lui a demandé si elle planifiait tuer chacune d’entre elles, l’accusé a répondu «oui, votre honneur». La femme 49 ans a également plaidé coupable à quatre chefs d'accusation de tentative de meurtre et à deux pour voies de fait graves. Wettlaufer avait été accusée en octobre dernier des meurtres prémédités de huit personnes âgées hébergées dans des centres de soins du sud de l’Ontario. Les crimes ont été commis de 2007 à 2014 à Woodstock et à London, en Ontario. Les victimes, des hommes et des femmes, étaient âgées de 75 à 96 ans. L’ex-infirmière en avait la garde pendant la nuit. Une mission de Dieu Selon la Couronne, l’ancienne infirmière se croyait investie d’une mission divine qui consistait à abréger les souffrances de ses patients en leur donnant la mort. C’est Dieu qui lui aurait demandé de tuer les huit victimes. Toujours selon la Couronne, l’accusée aurait fait des recherches sur internet concernant les surdoses d’insuline et sur les infirmières qui attentent à la vie de leurs patients. Wettlaufer aurait parlé de ses actes de «compassion» à sa conjointe, à une amie et à un pasteur qui ne l’auraient toutefois pas prise au sérieux. Elle n’avait toutefois pas évoqué ces gestes comme étant des meurtres. C’est le Centre de toxicomanie et de santé mentale de Toronto (CAMH), ou était suivi l’ex-infirmière pour des problèmes de consommation, qui a prévenu les autorités à l’automne 2016, après que Wettlaufer eut confié ses crimes à sa thérapeute. La police de Woodstock a alors ouvert une enquête. Finalement, l’ex-infirmière s’est elle-même rendue à la police. En raison de son plaidoyer de culpabilité, elle devra purger une peine de prison à vie.
http://www.journaldemontreal.com/2017/06/01/ontario-une-ex-infirmiere-plaide-coupable-pour-le-meurtre-de-huit-aines
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née le 10 juin 1967, l'infirmière a apparemment toujours agit en fonction des états mélancoliques voire dépressifs de son jour critique émotionnel
(née samedi = action samedi ou à côté)
(un seul cas (Zurawinski) ne répond pas tout à fait à la norme, mais aussi en épisode triple critique et le jour critique émotionnel se situe juste un jour plus tôt)

Les victimes alléguées de l’ex-infirmière :
http://skcenter.be/phpbb/viewtopic.php?f=25&t=196

- James Silcox, 84 ans, résident du Caressant Care, décédé le 17 août 2007
(veille du jour critique émotionnel E8)

- Maurice Granat, 84, résident du Caressant Care, décédé le 23 décembre 2007
(P18 équivalent du jour critique émotionnel et lendemain du jour critique émotionnel E22)

- Gladys Millard, 87, résidente du Caressant Care, décédée le 14 octobre 2011
(P6 et veille du jour critique émotionnel E15)

- Helen Matheson, 95, résidente du Caressant Care décédée le 27 octobre 2011
(P19 équivalent du jour critique émotionnel - épisode triple critique)

- Mary Zurawinski, 96, résidente du Caressant Care décédée le 7 novembre 2011
(P7 jour critique physique - épisode triple critique)

- Helen Young, 90, résidente du Caressant Care décédée le 14 juillet 2013
(P1 lendemain du jour critique émotionnel E8)

- Maureen Pickering 79, résidente du Caressant Care décédée le 28 mars 2014
(veille du jour critique émotionnel E15 - P6 - i1- épisode triple critique)

- Arpad Horvath, 75, résident du centre Meadow Park, London, décédé le 31 août 2014
(lendemain du jour critique émotionnel E1)

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