lundi 10 octobre 2016

assises

Lille. Un gendarme devant les assises 21 ans après le meurtre d'une étudiante Confondu par son ADN, 17 ans après les faits, grâce aux progrès de la science, un gendarme de Nice (Alpes-Maritimes) sera jugé, à partir d'aujourd'hui, devant la cour d'assises du Nord pour le meurtre et la tentative de viol d'une étudiante à Lille (Nord), en 1995. Cinq juges d'instruction, deux services de police, de nombreux experts, des dizaines d'auditions et des centaines de prélèvements génétiques ont été nécessaires, au cours des 17 années d'investigation, pour tenter de trouver le meurtrier de Stéphanie Fauviaux. Le 24 mai 1995, cette étudiante de 18 ans est découverte par la police, étranglée, vêtue d'un peignoir largement ouvert, dans la baignoire de l'appartement qu'elle partageait avec une amie, dans le centre-ville de Lille. Un « véritable acharnement » « Traumatisme crânien », « marques de strangulation », « brûlures au 2 e degré » et « ecchymoses sur l'intérieur des cuisses » laissant envisager des violences sexuelles, révèle l'autopsie. Un « véritable acharnement » qui signe « une intention d'homicide », souligne l'enquête qui piétine pendant dix-sept ans, avant de rebondir en 2012. Un nouveau magistrat fait alors procéder à de nouvelles expertises de traces ADN relevées sur le peignoir de la victime. Résultat : il s'agit de celles de Lylian Legrand. Âgé de 23 ans au moment du drame, ce Nordiste appartenait à l'entourage de la victime chez qui il se rendait régulièrement, rendant visite à sa colocataire, soeur de sa future épouse. Devenu, depuis, adjudant à la gendarmerie de Nice, marié et père de deux enfants, il est de nouveau entendu par les enquêteurs. Délaissant son alibi initial, il passe aux aveux et affirme avoir eu, ce 24 mai, dans la matinée, un rapport sexuel avec Stéphanie Fauviaux. Celle-ci, en tombant, s'était cognée la tête contre la baignoire et était décédée. Pris de panique, il l'avait étranglée puis volé sa carte bancaire pour simuler une agression. Un mois plus tard, il fait volte-face devant le magistrat instructeur : ses aveux, affirme-t-il, étaient le résultat de « pressions des enquêteurs ». Le 16 novembre 2012, ce responsable du service informatique à la gendarmerie de Nice est mis en examen du chef d'homicide volontaire et écroué.
http://www.letelegramme.fr/france/lille-un-gendarme-devant-les-assises-21-ans-apres-le-meurtre-d-une-etudiante-10-10-2016-11248087.php
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les rythmes psychiques correspondent souvent à "l'état particulier"nécessaire, lorsqu'il y a des actes extrêmes, et cela semble être le cas ici aussi, (sous réserve d'exactitude de la donnée trouvée) :
(lendemain matin de l'épisode critique physique P18/P19 - qui est un équivalent d'un jour critique émotionnel - plus jour critique émotionnel E15 - année P1)

24 mai 1995 (31/08/1971)
Ve 19 I(17)
Sa 20
Di 21
Lu 22 P(18)
Ma 23 P(19) E(15)
Me 24
Je 25
Ve 26
Sa 27

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