vendredi 26 février 2016

déséquilibre

Rita Henkinet était dépressive et obsessionnelle Rita Henkinet a traversé au cours de sa vie plusieurs épisodes de dépression, ont exposé jeudi après-midi différentes spécialistes des sciences du cerveau. L’accusée présentait une souffrance sur le plan anxieux. Elle a été décrite comme une personne obsessionnelle. Un conseiller technique (expert psychiatre) sollicité par la défense a évoqué un déséquilibre mental grave. La personnalité de Rita Henkinet a été analysée à travers les observations et expertises de différents psychiatres et psychologues. Le psychiatre personnel de l’accusée a énoncé qu’elle avait été hospitalisée à deux reprises en 1993 à la suite de crises obsessionnelles aiguës. Rita Henkinet présentait des idées d’allures bizarres et inquiétantes. Elle évoluait entre des pathologies psychotiques et névrotiques et a connu des contextes de décompensation anxieuse. Selon son psychiatre personnel, Rita Henkinet était dépressive. Elle présentait un fond obsessionnel. Tout symptôme qui frappait ses enfants était immédiatement pointé du doigt. Rita Henkinet présentait une souffrance anormale sur le plan anxieux et une usure extrême. Mais elle n’avait jamais présenté de pulsions suicidaires.(...)  Selon le psychiatre Charles, Rita Henkinet était en état de déséquilibre mental grave au moment des faits et elle l’est toujours actuellement. Elle présente une pathologie mentale sévère. Il existe chez l’accusée une dangerosité vis-à-vis d’elle-même car le risque suicidaire n’est pas à exclure. L’avis de ce conseiller technique sollicité par la défense pourrait peser sur l’issue du procès. S’il devait être retenu à l’issue des débats et si le jury devait déclarer que Rita Henkinet a tué ses deux enfants dans un état de déséquilibre qui persiste, elle serait alors internée dans le cadre de la loi de défense sociale.(...)
http://www.lavenir.net/cnt/dmf20160225_00785488
====================================

(la presse cite des âges de 54 et 57 ans pour l'accusée, alors difficile de savoir... donc sous réserve.
57 ans pourrait correspondre à une "rechute" ou récidive septennale, 1993 - crises précédentes - étant la période critique septennale des 35 ans alors que le drame pourrait être un drame de la période critique septennale des 56 ans. rythmes courts à voir  - cela expliquerait aussi une dépression septennale actuelle). (l'observation des rythmes et cycles permet de connaître les périodes à risque de récidive, nos périodes et jours critiques étant généralement des éléments contribuant au déclenchement de ce type de drame) 

Aucun commentaire: