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Le Havrais a aimé télécharger des films « avec des enfants ». Mais il se veut guéri de sa perversité, sans parvenir à l’expliquer.
 D’abord, le Havrais de 59 ans prétend avoir souhaité en 2011 « télécharger des films normaux ». Par hasard, il aurait obtenu sur son ordinateur « un film avec des enfants ». Jusqu’en janvier dernier, il a continué à s’en procurer sur la toile. « J’aimais ça. Ça m’excitait », a avoué Laurent. Aujourd’hui, presque miraculeusement, il promet avoir arrêté. Malgré tout, pour l’expert-psychiatre qui a rencontré le prévenu poursuivi devant le tribunal correctionnel du Havre, « il est clair que le sujet présente un caractère pédophile ». En octobre 2014, un bureau allemand d’Interpol, organisation internationale policière, repère les échanges que le Havrais a avec d’autres internautes via un système « Peer-to-peer ».
 À la fois, il télécharge des photos et des vidéos pédopornographiques et les met à disposition d’autres pervers. Le juge prend le soin de faire une « lecture assez scabreuse » de ces images, dit le président. « Il me semble important de rappeler ce que sont ces images. On n’est pas dans des images de fantasme. Ce ne sont pas des dessins animés pornographiques. » Il y a là des scènes de viols par des adultes sur « des enfants tout petits, de grands bébés pour certains », décrit à son tour la procureure. « Monsieur en étant public de ces scènes alimente un réseau. » Interpol transmet le dossier à l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP) situé à Nanterre (Hauts de Seine). Celui-ci remonte au Havrais par le biais de l’adresse IP de son ordinateur. Aussitôt, l’homme reconnaît sa responsabilité. Son épouse le quitte. « J’ai honte de ce que j’ai fait. Il y a des enfants qui souffrent », formule à la barre le prévenu. Il promet « ne plus avoir du tout envie » de ces images.
 Pour l’expert, la procédure et la condamnation à venir « peuvent sembler l’aider à mieux se contrôler ». Un rendez-vous avec un médecin a été pris. « Ce n’est pas des médicaments qu’il faut. C’est régler profondément le problème. Il va falloir une prise en main. Il va falloir chercher », martèle la procureure. Inconnu de la justice jusqu’alors, Laurent peine encore à s’expliquer. Dans le cadre de sa condamnation à dix mois de prison avec sursis, il sera contraint à suivre des soins tant psychologiques que psychiatriques.
http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/3923394/le-prevenu-havrais-telechargeait-des-films-a-caractere-pedophile#.Veg9bCXtlBc

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(2011 est la période critique septennale des 56 ans)
pour explication sommaire voir peut-être http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/glossaire.html
paragraphe "pédophilie septennale"...
(valable éventuellement aussi dans le cas post précédent - sauf à en savoir plus)
aussi ce drame tout récent dont on est sans nouvelles
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2015/08/drame_69.html