mardi 26 mai 2015

suspect

Tuerie de Chevaline. Le suicide d'un ex-légionnaire intrigue
Dans l'enquête sur la tuerie de Chevaline, les soupçons se tournent maintenant vers un ancien légionnaire qui s'est suicidé en juin.
Selon le journal britannique Mirror un ancien légionnaire, proche du cycliste assassiné, serait devenu "un suspect" dans ce quadruple assassinat. Le cycliste, la cible principale Le suspect, qui s'est suicidé en juin 2014 en livrant dans une note « ne plus supporter les soupçons pesant sur lui », avait déjà été interrogé comme simple témoin en 2012. Et Tom Parry, journaliste au Mirror, assure dans son livre consacré au quadruple meurtre (The Perfect Crime) que l’enquête portant sur la tuerie de 2012 pourrait connaître un nouveau rebondissement. Cela en suivant la piste du militaire, Patrice Menegaldo. « L'hypothèse privilégiée par les enquêteurs est celle d'un meurtre aux racines locales. Nous avons un vrai suspect. Je parle du légionnaire d'Ugine », aurait ainsi assuré le procureur Eric Maillaud, cité par Tom Parry. La théorie du journaliste ? Sylvain Mollier, le cycliste de la région perçu comme une victime collatérale pourrait être la cible principale de ce carnage. 
 Aucune preuve tangible pour l'instant Le légionnaire, âgé d'une cinquantaine d'années, connaissait effectivement Sylvain Mollier et sa compagne. « Nous parlons ici d'un ex-soldat endurci, habitué au maniement des armes, disant soudainement qu'il ne pouvait supporter d'être considéré comme un suspect », souligne Eric Maillaud. « Se pourrait-il que ce soit lui ? A-t-il regretté ses actions ? (...) Il avait les capacités techniques de commettre ce qui a été commis ce jour-là. » Aucune preuve tangible n'accuserait pour l'instant le militaire. En effet, selon les informations de France 2, l'ADN du légionnaire ne se trouvait pas sur la scène du crime. Contacté par Europe 1, le procureur d'Annecy a précisé, ce lundi, avoir « simplement dit que ce suicide » l’intriguait « mais pas que son auteur pouvait être considéré comme un suspect ».
 Le 5 septembre 2012, il y a deux ans et demi, trois membres d'une même famille britannique d'origine irakienne et un cycliste français étaient exécutés sur une route forestière, près de Chevaline, en Haute-Savoie. Deux fillettes, de 4 et 7 ans, ont réchappé à la tuerie. L'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Chambéry. Plusieurs pistes ont été étudiées par les enquêteurs, mais le quadruple meurtre de Chevaline n'a jamais été élucidé.
http://www.ouest-france.fr/un-nouveau-suspect-numero-un-3428980

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"...nouvelle piste d'enquête démentie par le procureur..."
Nos confrères de France TV INFO font valoir qu'aucun élément concret n'incrimine le légionnaire et souligne qu'il pourrait s'agir là d'une interprétation erronée du journaliste anglais.Cette nouvelle hypothèse repose en effet sur des propos prêtés à Eric Maillaud . Or l'interessé se défend aujourd'hui de faire du légionnaire un coupable. Dans une interview accordée à Europe 1, le procureur a replacé ses déclarations dans le contexte : "J’ai simplement dit que ce suicide m’intriguait, mais pas que son auteur pouvait être considéré comme un suspect".

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(Né le mercredi 18 mars 1964 Décédé  le mardi 3 juin 2014)
une donnée de naissance (ss rés.exactitude bien sûr) permet à tout hasard de voir la situation le jour du suicide mais aussi le jour du drame de Chevaline :

5 septembre 2012 (18/03/1964)
Sa 1
Di 2
Lu 3
Ma 4
Me 5 E(8)
Je 6 P(18) I(17)
Ve 7 P(19)
Sa 8
Di 9
Lu 10
Ma 11

(jour critique émotionnel E8 dans un épisode triplement critique fort, 48 ans et six mois = entrée période critique septennale des 49 ans)

"il avait les capacités techniques" mais aussi psychiques... (fortes même) par contre pouvait-il aussi être très affecté plus tard d'avoir été suspecté à tort et se suicider à l'issue d'une dépression septennale... 

le suicide :
3 juin 2014 (18/03/1964)
Di 1 P(7)
Lu 2
Ma 3
Me 4 E(1) I(26)
Je 5
Ve 6 P(12)

(veille du jour critique émotionnel E1 et intellectuel i26)(50 ans et 2 mois = fin période critique septennale des 49 ans)

cette hypothèse me rappelle curieusement ce drame de Perpignan où un légionnaire accusé d'avoir tué sa fille et son épouse s'est suicidé ensuite...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Benitez
l'intéressé se trouvait en jour neutre, le jour de la disparition, mais entrait le soir dans son jour critique physique P12 (pas un jour typique pour un scénario de crime) mais se trouvait aussi dans sa période critique septennale des 49 ans à cinq mois de l'anniversaire - suicide en jour critique intellectuel i17)
l'affaire met au jour une précédente disparition d'une autre compagne fin 2004 ( à deux semaines de l'anniversaire 41 - un lendemain de jour critique physique P12 - juste avant la période critique septennale des 42 ans)

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