jeudi 23 avril 2015

suicide

Suicide au CHU de Dijon : une faute pénale ?
Une jeune femme de 34 ans, alors opérée pour une tentative de suicide, avait sauté depuis la fenêtre de sa chambre d’hôpital en mars 2008. Le CHU de Dijon a été relaxé en première instance.
 En mars 2008, une jeune pharmacienne de 34 ans, Céline, est admise aux urgences du CHU de Dijon, après une tentative de suicide particulièrement violente : elle s’est enfoncé un couteau dans le thorax. Immédiatement prise en charge, elle est opérée aux urgences, avant d’être transférée au service de chirurgie viscérale, à l’étage de l’ancien hôpital général. On lui a posé un drain, elle est sous perfusion et l’effet de la morphine ne s’est pas encore totalement dissipé lorsque la brancardière l’installe dans son lit aux barreaux relevés, dans une chambre où deux autres patients sont hospitalisés. L’infirmière prend connaissance, dans le même temps, du dossier médical de Céline. Elle entre dans la chambre pour s’occuper du drain, trouve la fenêtre ouverte. La jeune femme s’est défenestrée. Elle meurt deux jours plus tard.
 Ce drame humain pose la question de la responsabilité du CHU. Car les parents de Céline, qui était fille unique, veulent comprendre, « sans haine » précise leur avocat, le bâtonnier Portalis. (...)
 http://www.bienpublic.com/actualite/2015/04/22/suicide-au-chu-de-dijon-une-faute-penale

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(période critique septennale des 35 ans - jour critique émotionnel ?)

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