Le tueur de la ministre s’était échappé d’un hôpital en Belgique
Libéré par la police belge, il a tué une ministre néerlandaise deux mois plus tard
La clinique psychiatrique de Grimbergen n’a pas signalé l’évasion du déséquilibré.
Le Néerlandais de 38 ans soupçonné de deux meurtres aux Pays-Bas dont celui de l’ancienne ministre Els Borst s’était échappé en décembre 2013 d’un hôpital psychiatrique en Belgique, lequel n’avait pas signalé sa disparition. Les Pays-Bas demandent des explications à la Belgique. Un dossier qui se trouve maintenant au parquet de Hal-Vilvorde.
Ce Néerlandais, Bart Van Urk, comme la DH le révélait hier, avait été interpellé en possession d’une arme en octobre 2013 à l’ambassade d’Israël à Uccle. Après examen par un psy, le parquet de Bruxelles l’avait placé en observation au Psychiatrisch Ziekenhuis Sint-Alexius à Grimbergen. Et donc, selon nos infos, Van Urk s’est échappé de l’établissement avant la fin du traitement. Et sa disparition n’a pas été signalée au service de police.
Le parquet de Bruxelles n’a donc pas été informé et le ministère public néerlandais n’a pas non plus pu être alerté.
Et deux mois plus tard, Bart Van Urk tuait l’ancienne ministre Borst. Et encore un an plus tard, le 10 janvier dernier, sa sœur de 43 ans, Loïs Van Urk.
Selon l’avocate de Van Urk, Noëlle Pieterse, la clinique belge n’a pas signalé la disparition parce que la mise en observation du patient s’achevait la semaine suivante.
Van Urk arrivé en fin de traitement était supposé présenter moins de danger. Mais un contact avait été pris avec un centre psy à Rotterdam.
Diagnostiqué schizophrène, Bart Van Urk vivait depuis des années dans la phobie d’un attentat. D’où sa présence à Bruxelles le 17 octobre 2013 : remettre à l’ambassade d’Israël un courrier exposant des théories de complot.
La police néerlandaise avait eu l’occasion d’enquêter sur lui. En 2011 encore, lorsque Van Urk fut trouvé en possession d’armes prohibées. Elle ne possédait pourtant pas son ADN.
En sorte que quand Els Borst est tuée à Rotterdam en février 2014, les policiers néerlandais battent le beurre pendant un an.
Connu depuis 2001, condamné à 3 ans en 2012 pour l’affaire des armes, arrêté à Bruxelles le 17 octobre 2013, échappé de psychiatrie le 9 décembre suivant, Van Urk a pu tuer la ministre Els Borst le 8 février 2014 et n’être finalement identifié que le 12 janvier 2015, et uniquement parce qu’il a commis un deuxième meurtre, et que c’était un parent proche, sa sœur
Source : La Dernière Heure le 26 février 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=21708&hl=
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(possible même jour cyclique pour les deux meurtres (sam. 8/02/2014 et sam. 10/01/2015, mais à vérifier)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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