Trois mois après le suicide d’un de ses collègues, le président du syndicat des constables spéciaux du palais de justice de Montréal s’est enlevé la vie le jour de Noël. Ce triste événement survient alors qu’une affaire de harcèlement au travail fait l’objet de préoccupations au palais de justice. Serge Lefrançois travaillait sur un dossier de harcèlement psychologique. Plusieurs constables auraient mentionné en subir de la part de cadres. M. Lefrançois aurait laissé deux lettres, l’une à sa famille et l’autre au ministère de la Sécurité publique, selon ce qu’a rapporté hier matin le 98,5 FM. Il aurait été insatisfait du déroulement de l’enquête interne sur les problèmes de harcèlement, déclenchée par le ministère, à la suite du suicide du constable Pierre Chauvette en octobre dernier. Rappelons que ce dernier aurait été victime de harcèlement de la part d’un cadre supérieur. Il aurait laissé une lettre blâmant le cadre en question. (...)
http://www.journaldemontreal.com/2014/01/06/suicide-du-president-des-constables-speciaux-du-palais-de-justice-de-montreal
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Le suicide d'un constable spécial du palais de justice de Montréal, en septembre dernier, a fini par déclencher une enquête interne, en raison d'allégations de harcèlement de travail. Le Syndicat des constables spéciaux veut aller plus loin et demande une enquête indépendante. «On veut une enquête d'un autre corps de police. On ne veut pas que ce soit une enquête du ministère de la Sécurité publique ni de la Sûreté du Québec. À cause des liens avec le Ministère», a indiqué Serge Lefrançois, président du Syndicat des constables spéciaux du gouvernement du Québec. Pierre Chauvette, 56 ans, a mis fin à ses jours dans son logement de l'est de Montréal, le 9 septembre dernier. Il aurait laissé des documents qui pourraient expliquer, du moins en partie, son geste. L'homme se sentait apparemment harcelé dans son milieu de travail. Il se plaignait d'un officier en particulier.(...)
http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/actualites-judiciaires/201311/08/01-4708547-harcelement-au-palais-de-justice.php
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certainement des problèmes au travail mais il s'agit également de deux suicides aux "clés" identiques : situation en période critique septennale des 56 ans... donc suicides septennaux.
tout comme l'est aussi le suicide de la factrice objet de mon post précédent : attention à nos périodes critiques septennales pouvant devenir des sortes de périodes piège qui vont alors accentuer la détresse jusqu'à provoquer une descente aux enfers...
si tout cela n'était pas dramatique pour les
familles on oserait presque dire que la seconde personne est décédée des mêmes
effets que la première à propos de laquelle elle enquêtait... : il faut prévenir les
personnes à l'avance de ce qui peut se passer dans nos têtes lorsque nous
entrons dans une période critique septennale... cela peut souvent aider à désamorcer un mécanisme aux conséquences parfois gravissimes.
le jour critique émotionnel serait chaque fois à vérifier car il est un autre élément fréquemment présent et en cause lors de tels gestes de désespoir...
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édit 22/01/2014 :
L'hôpital aurait pu le sauver du suicide
En septembre dernier, un des constables spéciaux du palais de justice de Montréal, Pierre Chauvette, s'est enlevé la vie. TVA Nouvelles a appris qu'il aurait pu être sauvé à l'hôpital. Pierre Chauvette, 56 ans, a posé ce geste le 9 septembre dernier.
Certains ont alors dit qu'il s'était suicidé parce qu'il se sentait harcelé par un supérieur au travail. Cependant, le rapport du coroner Paul Dionne, dont nous avons obtenu copie, indique que monsieur Chauvette avait des problèmes psychiatriques depuis au moins 2008. Il était paranoïaque, et considérait souvent des collègues et des supérieurs comme des agresseurs. En 2011, des médecins ont diagnostiqué des troubles schizophréniques avec traits obsessionnels, et un an plus tard, des troubles délirants de type persécutoire. Au mois d'août 2013, il reçoit une lettre de son employeur qui lui demande plus d'assiduité au travail. Selon le coroner, il interprète la lettre comme des menaces. Il semble présenter un délire paranoide lorsqu'il écrit une note de suicide, le 7 août dernier.
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http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2014/01/20140121-190909.html
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(lien cycle intellectuel possible entre 7/08 et 9/09/2013)
sinon il ne semble pas très judicieux d'écrire une lettre pour demander plus d'assiduité au travail à une personne qui est apparemment en grande souffrance... ?
les troubles décrits sont ceux possibles en période critique septennale. peut-être que la personne a eu des problèmes dès la période critique précédente des 49 ans et ceux ci ont perduré pour s'aggraver lors de la période critique suivante, celle des 56 ans...
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