La dépression envenime leur relation… jusqu’à la tentative de meurtre
Sa compagne ne supportait pas son hospitalisation en psychiatrie pour une dépression. L’agent de sécurité la poignarde d’une vingtaine de coups de couteau.
Si la victime est encore bien vivante, faisant face à celui qui l’a lardée de coups de couteau, elle le doit à un ami heureusement présent le jour du drame.
Ce 17 juillet 2011 alors qu’Aimé Valentin K. se trouve dans la cuisine du couple, rue de Chalezeule à Besançon, des cris stridents, des appels au secours désespérés, retentissent dans le salon.
Il se précipite et voit son ami V D, hors de lui et armé d’un couteau, qui s’acharne sur sa compagne Clarisse couverte de sang. Sommé de s’arrêter, il obéit dans un premier temps avant de frapper à nouveau la victime pendant qu’Aimé alerte le voisinage.
Plusieurs témoins interviennent alors pour écarter le forcené qui disparaît avant l’arrivée de la police, à bord de sa voiture.
Pour se rendre 2 heures plus tard au commissariat de Vesoul et reconnaître les faits.
Rapidement transférée au CHU sa victime est alors dans un état inquiétant le pronostic vital restant engagé pendant plusieurs jours.
Sans cette prise en charge rapide, elle aurait sans doute succombé.
Accusé de « tentative de meurtre », cet ancien agent de sécurité ivoirien de 37 ans s’est efforcé, lundi, devant les assises du Doubs d’expliquer son passage à l’acte explosif. « Elle ne supportait pas que je sois à Novillars avec les fous » Pour l’homme, sa rage meurtrière trouve sa source dans la profonde et inexplicable dépression dans laquelle il avait sombré depuis quelques semaines.
Hospitalisé deux fois pour cette pathologie, sa compagne était venue le rechercher et refusait, assure-t-il, d’admettre qu’il puisse souffrir de ce mal étrange.
« Elle me disait c’est une maladie des blancs pas des noirs. » Une affection qui empoisonne alors leurs relations avec un paroxysme ce jour tragique où il entrevoit clairement une possible rupture.
« Elle m’a dit si tu retourne à Novillars tes affaires seront dehors. Il y a eu un trou noir, un retour à la lumière… je me suis vu avec elle sur le canapé et le couteau… un nouveau trou noir. »
Une version corroborée par l’expertise psychiatrique qui évoque « un état dépressif majeur » et un trouble mental qui a altéré son discernement.
Reste que l’accusation souligne des antécédents de violence, avec la victime ou d’autres compagnes, ce dont il se défend, et un homme instable, vivant parfois aux crochets de celles-ci.
Les jurés rendront leur verdict en fin de journée.
http://www.leprogres.fr/jura/2013/12/16/la-depression-envenime-leur-relation-jusqu-a-la-tentative-de-meurtre
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les dépressions septennales (ici probablement celle des 35 ans) peuvent atteindre tout le monde et faire des dégâts en raison de leur gravité...
à vérifier aussi la situation du jour du drame... des deux personnes...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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