Une étude du CHUV sur le syndrome du bébé secoué montre l'ampleur du phénomène
Les personnes qui secouent violemment un bébé le font à plusieurs reprises, constate une étude du CHUV qui a analysé les cas diagnostiqués entre 2002 et 2013 dans l'établissement hospitalier vaudois.
Le syndrome du bébé secoué est rarement le fruit d'une unique crise de nerfs, selon une étude de la doctoresse Sarah Depallens, pédiatre spécialisée en protection de l'enfant qui a analysé les 16 cas diagnostiqués au CHUV entre 2002 et 2013. Dans 70% des cas, les lésions constatées montraient qu'il y avait eu plusieurs épisodes de violences démesurées exercées sur le bébé.
En croisant l'observation des IRM et l'étude des dossiers, la doctoresse a aussi constaté que la moitié de ces nourrissons avait consulté un pédiatre quelques semaines plus tôt, sans que le médecin ne décèle ces maltraitances.
Au moins 10 bébés secoués par année
Au vu de ces résultats, la doctoresse rappelle l'importance de la prévention auprès des parents en difficulté.
En Suisse, chaque année une dizaine de bébés secoués sont diagnostiqués. Leur nombre réel pourrait être plus grand, car seuls les cas graves sont identifiés.
http://www.rts.ch/info/suisse/5474945-une-etude-du-chuv-sur-le-syndrome-du-bebe-secoue-montre-l-ampleur-du-phenomene.html
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l'observation et la prise en compte des rythmes et cycles humains pourrait probablement être un excellent moyen de prévention du phénomène des bébés secoués...
pourquoi ?
les bébés sont souvent secoués parce que par moments ils pleurent beaucoup sans que l'on puisse les faire s'arrêter : cela exaspère parent ou gardien qui va avoir tendance à secouer l'enfant pour le faire taire.
or les pleurs de bébé sont plus importants et plus fréquents son jour critique physique, c'est à dire environ chaque sixième jour de sa vie (j'ai pu en voir peu, faute de données, mais la majorité des cas que j'ai pu regarder correspondent à une situation en jour critique physique du bébé) : cela peut expliquer les secouements pouvant intervenir de façon successive, de même que les consultations précédentes chez le pédiatre. (c'est d'ailleurs ainsi, entre autres, que le médecin Fliess a découvert les biorythmes autour de 1900, les mamans venant le consulter aux mêmes intervalles parce leur bébé pleurait beaucoup)
le second élément à prendre en compte est l'état émotionnel du parent ou gardien : or c'est son jour critique émotionnel que celui-ci peut avoir tendance à "craquer". il existe d'autres épisodes critiques encore mais les deux cités sont probablement les plus importants et donc les plus en cause.
jour critique physique du bébé, jour critique émotionnel du parent ou gardien sont des éléments connus à l'avance de sorte qu'au moyen d'une certaine information on pourrait prendre en considération les moments à risque avant qu'un bébé ne risque d'être secoué....
tout ceci demande bien sûr à être vérifié et confirmé mais cela est très facile puisqu'il suffit de connaître les dates de naissance et les dates de secouement pour voir s'il y a jour critique physique du bébé ou jour critique émotionnel du "secoueur".
les 16 cas cités et ayant fait l'objet de l'étude ci-dessus permettraient par exemple de vérifier la théorie.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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