Le fait divers du jour : la compagne "adultère" avait simulé un enlèvement
Les poignets bleuis par de supposés liens, elle avait affirmé à son compagnon et aux gendarmes avoir été séquestrée. Un subterfuge pour dissimuler sa nuit avec un amant. Bilan : quatre mois fermes.
Plutôt que d'avouer à son compagnon l'avoir trompé avec un homme rencontré sur le Net, une jeune femme domiciliée à Corbelin, en Isère, avait prétendu avoir été enlevée et violée. Elle en est quitte pour une amende et quatre mois de prison fermes.
Un témoignage fluctuant
A. P. était convoquée mercredi dernier, le 6 novembre, devant le tribunal correctionnel de Bourgoin-Jallieu, pour répondre de la vraie-fausse agression dont elle a dit avoir fait l'objet.
La jeune femme de 27 ans ne s'est pas présentée. Elle n'en a pas moins écopé de 4 mois de détention, assortis d'une amende de 5.000 euros pour "dénonciation mensongère entraînant des recherches inutiles", en l'occurrence de ses prétendus kidnappeurs.
Les faits rapportés par Le Dauphiné Libéré remontent à quelques mois. Le 8 mars 2013, le compagnon de la supposée victime d'une agression à caractère sexuel avait dénoncé son rapt suivi, racontait-elle, de violences. Des individus l'auraient ligotée et séquestrée dans une cave avait-elle dit aux enquêteurs à sa sortie de l'hôpital, du moins dans un premier temps, car sa version a évolué. Par la suite, elle a ainsi évoqué une demande de rançon pour effacer une dette de son compagnon.
Des preuves accablantes
Ce dernier avait retrouvé sa petite amie dans un bois proche de son lieu de résidence, des hématomes aux poignets suggérant qu'elle avait été entravée. Oui, mais de relevés téléphoniques en auditions, les gendarmes des Avenières et ceux de la brigade de recherches de La Tour-du-Pin n'ont pas conclu à des faits criminels, mais à une supercherie.
D'emblée, les enquêteurs n'ont pas cru au scénario présenté par la pseudo-victime, et très vite, l'exploitation notamment de son téléphone les a confortés dans l'idée d'un simulacre. Quatre mois après l'enlèvement allégué, la jeune femme placée en garde à vue a fini par reconnaître son mensonge. Non, elle n'a pas été enlevée, mais la nuit en question, elle l'a passée avec un autre homme que son compagnon, à Villefontaine. En conséquence de ce mensonge, mais pour d'autres raisons, sa nuit d'amour lui en vaudra une bonne centaine en prison.
http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-la-compagne-adultere-avait-simule-un-enlevement/mmki!EAvQbeTcIT5E/
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