Avec trois autres pères, il réclame la garde de ses enfants.
Quatre pères ont passé la nuit dans une des tours de la cathédrale
Parmi eux, Frédéric F, un papa du quartier des Résidences à Belfort.(...)Frédéric F a 27 ans. Il a un fils de 4 ans et une fille de 3 ans. Il ne voit plus ses deux enfants qu'un week-end sur deux, soit quatre jours par mois. Cet assistant maternel avait mis en place un système de garde alternée. La maman a changé de région. La garde lui a été confiée. Le père a fait appel. "J'ai autant le droit que la maman de voir mes enfants" nous explique t-il ce matin au téléphone. Au nom de la coparentalité Le groupe réclame que "le droit des enfants à leurs deux parents soit respecté par la justice" en cas de divorce. "Un an après la séparation des parents, il y a 30% des enfants qui ne voient plus le parent à qui ils n'ont pas été confiés", avait affirmé jeudi un des membres du groupe, Jean Le Bail. "Et dans 80% des cas, c'est le père qui est exclu de la vie des enfants", avait poursuivi M. Le Bail. (...)
http://franche-comte.france3.fr/2013/05/10/frederic-foroughi-un-pere-de-belfort-passe-la-nuit-en-haut-de-la-cathedrale-d-orleans-248757.html
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un second père aurait 42 ans : je n'ai pas trouvé plus de données concernant les autres personnes, mais les pères qui sont montés sur des grues ou ailleurs sont fréquemment des personnes en période critique septennale parce que c'est à ce moment-là que l'on a l'énergie, le moteur, peut-être le ras-le-bol aussi... pour agir...
Ces "coups de forces" des papas en colères sont-ils nécessaires ?
Une avocate de Poitiers, Simone Brunet, interrogée au mois de février par France 3 Poitou-Charentes, explique que les "pères en colère" "se trompent de combat".
Que vous inspirent ces faits divers à répétition ?
Ce sont des épiphénomènes. Désolée de vous dire qu'ils ne mettent pas le doigt là où ça fait mal. Des parents mécontents de la pauvreté du lien qui les unit à leurs enfants après un divorce, il y en a toujours eu. Mais vous remarquerez qu'il s'agit d'une minorité. Sur cent divorces, nous en avons 10% qui donnent lieu à des contentieux lourds avec des parents qui se déchirent parfois violemment. Dans tous les autres cas la rupture est organisée par la Justice dans l'intérêt des enfants qu'on ne peut pas couper en deux.
Ce sont des épiphénomènes. Désolée de vous dire qu'ils ne mettent pas le doigt là où ça fait mal. Des parents mécontents de la pauvreté du lien qui les unit à leurs enfants après un divorce, il y en a toujours eu. Mais vous remarquerez qu'il s'agit d'une minorité. Sur cent divorces, nous en avons 10% qui donnent lieu à des contentieux lourds avec des parents qui se déchirent parfois violemment. Dans tous les autres cas la rupture est organisée par la Justice dans l'intérêt des enfants qu'on ne peut pas couper en deux.
Tout de même, dans 78% des divorces, la garde des enfants est confiée à la mère...
Mais parce la Justice entérine la volonté des parents ! Et dans la majorité des cas, c'est la mère qui demande la résidence de l'enfant avec l'accord du père. Nous avons des chiffres impressionnants : 3 millions d'enfants ne voient plus du tout leur père au bout de deux ou trois ans après un divorce. Depuis 40 ans on assiste à une explosion des ruptures conjugales. Les femmes ont commencé à travailler, à se prendre en charge financièrement et cette nouveauté a été très déstabilisante pour beaucoup d'hommes en créant des tensions au moment du divorce.
Mais parce la Justice entérine la volonté des parents ! Et dans la majorité des cas, c'est la mère qui demande la résidence de l'enfant avec l'accord du père. Nous avons des chiffres impressionnants : 3 millions d'enfants ne voient plus du tout leur père au bout de deux ou trois ans après un divorce. Depuis 40 ans on assiste à une explosion des ruptures conjugales. Les femmes ont commencé à travailler, à se prendre en charge financièrement et cette nouveauté a été très déstabilisante pour beaucoup d'hommes en créant des tensions au moment du divorce.
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