vendredi 24 mai 2013

meurtre

Meurtre à Quimper. Jugé pour avoir tué une femme au stylo à lame
Depuis hier et jusqu’à ce vendredi soir Frédéric Laurent est jugé devant la cour d’assises de Quimper pour le meurtre de Gwenaëlle Le Bartz, dans une cave à Quimper en février 2011. Il n’explique toujours pas son geste. « Je ne me souviens pas de grand-chose. J’essaie de reconstituer des images. La seule scène dont je me souviens, c’est que lorsque je suis sorti de l’immeuble, j’étais effrayé. » Frédéric Laurent, 30 ans, né à Concarneau, est jugé depuis hier devant la cour d’assises du Finistère pour meurtre.
Il n’explique pas encore son geste. La famille de Gwenaëlle Le Bartz, elle, se souvient du corps de la victime, baignant dans une mare de sang, dans une cave du quartier de Penhars, à Quimper.
Les faits 21 février 2011. À 17 h 30, la police reçoit un appel de la compagne de Frédéric Laurent. Elle signale qu’il est très excité et susceptible de devenir violent. La police arrive et découvre l’homme torse nu, saignant de la bouche. Il est conduit à l’hôpital psychiatrique. Il porte des traces de sang sur ses vêtements. À 19 h 30. Le cadavre d’une femme gisant sur le sol dans les parties communes d’un autre immeuble, est découvert par une tierce personne et un médecin. Le décès est consécutif à une agression à l’arme blanche. La victime présente une large et profonde entaille au niveau du cou. Le visage est tuméfié avec, notamment, un hématome au niveau de l’œil. Il s’agit de Gwenaëlle Le Bartz, 36 ans, une habitante du quartier. La police fait le rapprochement entre les deux interventions. Frédéric Laurent reconnaît avoir tué cette femme qu’il avait rencontrée dans la journée. Mais il est incapable de donner la moindre indication, ni sur le mode opératoire, ni sur le mobile. Le verdict est attendu dans la soirée.
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Meurtre-a-Quimper.-Juge-pour-avoir-tue-une-femme-au-stylo-a-lame_40771-2195569-pere-bre_filDMA.Htm

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pour mieux comprendre il faudra probablement là aussi s'intéresser à la situation cyclique de l'intéressé au moment du drame... deux éléments sont connus et deux autres restent à vérifier :  d'après les données l'intéressé se trouve en pleine période critique septennale des 28 ans, au moment du changement de journée chronobiologique (alentour 18heures) la situation en jour critique reste à vérifier (c'est fréquemment le jour critique émotionnel que l'on rencontre - voir mon post précédent - mais certains jours critiques physiques peuvent également entrer en ligne de compte)

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