samedi 20 avril 2013

police

"Le Point" révèle le contenu d'un courrier accusateur laissé par une policière à l'encontre de sa hiérarchie avant de se suicider le 7 avril.
 "Merci la police." C'est ainsi que commence la lettre posthume de Marie-Christine, gardien de la paix à Nantes, dont Le Point.fr a pris connaissance. La policière de 38 ans a laissé cette lettre à sa famille avant de saisir son arme de service et de mettre fin à ses jours dans la nuit du 6 au 7 avril. C'est le septième suicide de policier depuis le début de l'année. Le courrier dans lequel elle met en cause sa hiérarchie a été saisi par la gendarmerie et remis au procureur de la République. Si les causes d'un suicide sont toujours complexes et multiples, elles sont aussi liées à la profession que l'on exerce. Et dans le cas du métier de policier, il semble que cela soit un terrible accélérateur du passage à l'acte. Stress, tension, heures de nuit... ne sont pas sans conséquence sur la cellule familiale.
Le suicide de Marie-Christine ne déroge pas à cette règle. La policière, qui a connu une dépression avec suspension, deux ans plus tôt, de son pistolet Sig Sauer, connaissait en effet des problèmes d'ordre financier et affectif, comme elle en a fait état, elle-même, dans son courrier. Des problèmes familiaux que l'institution policière mettra sans doute en avant comme explication à son suicide. (...)
http://www.lepoint.fr/societe/merci-la-police-ecrit-elle-avant-de-se-suicider-19-04-2013-1657082_23.php

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possible suites d'une dépression septennale des 35 ans : elle peut nous poursuivre longtemps si des problèmes subsistent...
et le fait de disposer d'une arme à feu est effectivement un terrible accélérateur du passage à l'acte...
jour critique émotionnel ? 

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