Drame de Villepinte : l'ex-mari voulait "faire peur"
L'homme de 43 ans qui a tué son ex-femme à coups de fusil de chasse, mardi après-midi à Villepinte, était toujours en garde à vue, hier soir, dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Bram. Le suspect étant alcoolisé au moment de son interpellation, l'interrogatoire n'a débuté qu'hier, après dégrisement complet. Et l'audition s'est déroulée, en présence de l'avocat du mis en cause, Me Gros, de Carcassonne. Selon nos renseignements, l'homme serait relativement peu disert. Il expliquerait son geste en indiquant qu'il était en conflit avec son ex-épouse, notamment au sujet de l'éducation de leurs enfants, deux filles de moins de 20 ans. Il n'aurait pas souhaité la tuer, mais simplement lui faire peur.
Atteinte par une décharge dans le thorax
L'ennuyeux, en la matière, c'est qu'au moment où il a ouvert le feu à travers la porte vitrée, il était semble-t-il en train de discuter avec la future victime, et ne pouvait donc ignorer qu'elle se trouvait derrière. Le quadragénaire a, de surcroît, ouvert le feu par deux fois, comme pour assurer son tir.
Le parquet de Carcassonne a indiqué d'ailleurs, hier soir, que la victime, R C, âgée de 43 ans, a été atteinte par une décharge de plombs dans le thorax, provoquant son décès quasi immédiatement. On a aussi appris, hier, que le meurtrier possédait une maison située juste en face de celle de son ex-femme, rue de la Liberté à Villepinte. Il disposait également d'un pied à terre à Toulouse, ville où il aurait refait sa vie, devenant de nouveau père de famille.
Un passé émaillé par des faits de violence
Le parquet a encore confirmé que le meurtrier était connu pour ses accès de violences, envers les autres et son ex-épouse. Il aurait d'ailleurs eu trois ou quatre altercations d'importance avec elle, depuis leur divorce, voici plusieurs années. De même, l'individu avait été mêlé à plusieurs bagarres dans des fêtes de village.
Quelque part, de nombreux éléments concourent donc à laisser penser que le drame de mardi après-midi, était prévisible, à tout le moins fortement envisageable. Quant à l'autopsie de la victime, elle devrait avoir lieu, jeudi ou vendredi, à l'Institut médico-légal de Montpellier. L'examen du corps par le légiste permettra, entre autre chose, de vérifier si les blessures occasionnées sur la quadragénaire, sont compatibles avec ses dires.
http://www.lindependant.fr/2013/03/28/drame-de-villepinte-l-ex-mari-a-ouvert-le-feu-a-travers-la-porte,1740219.php
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proximité ici aussi de la dernière période critique septennale (42 ans) et apparemment compatibilité cyclique...
le jour critique émotionnel - à vérifier - est un second élément fréquemment présent en cas de drame.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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