violeur récidiviste

Saulxures Deux adolescentes de 13 ans abusées dans un centre d’hébergement
Un quadragénaire est mis en examen pour avoir abusé de deux adolescentes dans un centre spécialisé de Saulxures où il travaillait en tant qu’animateur sportif. Il venait de finir de purger une peine de 14 ans de réclusion pour braquage et viol. Le 10 avril 2008, la cour d’assises de la Meurthe-et-Moselle avait légèrement réduit la peine prononcée trois ans plus tôt en première instance par les jurés vosgiens. De seize années, la sanction infligée à Marc Aubry était ainsi passée à quatorze années de réclusion criminelle. L’homme, âgé à l’époque de 45 ans, avait été reconnu coupable de douze vols à main armée en Alsace, dans les Vosges, dans l’Eure et le Var, entre janvier 2001 et avril 2002. Mais aussi d’un viol et de plusieurs agressions sexuelles commis durant ses braquages  (.....)
Recruté sans avoir à produire d’extrait de casier judiciaire Après avoir été incarcéré à Écrouves (Meurthe-et-Moselle), Marc Aubry a retrouvé la liberté le 15 juillet 2011. À sa sortie de détention, il a obtenu un emploi d’agent de sécurité dans un magasin. Le quadragénaire a rapidement fait la connaissance de la responsable de la Covaco de Saulxures, un centre d’accueil pour adolescents en difficulté installé dans le canton de Saales. Celle-ci l’a embauché en qualité d’animateur sportif en janvier dernier, sans prendre soin de lui demander de produire un extrait de son casier judiciaire. Cette formalité est pourtant obligatoire avant tout recrutement dans ce type de structure.
Au cours du premier trimestre de cette année, le Nancéien s’est particulièrement rapproché de deux adolescentes de treize ans – sept mineurs étaient hébergés à la Covaco. Il a eu des relations sexuelles avec l’une des jeunes filles, mais celle-ci a déclaré aux gendarmes qu’elle était consentante. La justice reproche à l’ancien braqueur d’avoir abusé de l’autorité que lui conférait sa fonction, et donc d’avoir commis une atteinte sexuelle sur une mineure de moins de quinze ans. Devant les enquêteurs, il n’a pas nié l’existence de rapports intimes avec l’adolescente ; il a en revanche contesté l’abus d’autorité.
L’animateur sportif de 49 ans est en outre soupçonné d’avoir procédé à des attouchements sexuels sur une autre pensionnaire. Il aurait imposé des caresses à l’adolescente.(...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=15147&hl=

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là aussi il conviendrait de ne pas libérer après 7 ans une personne condamnée à 14 ans... ou alors simplement la condamner à 7 ans et la libérer après sa peine...
ensuite ne pas la libérer sans suivi à l'arrivée d'une période critique septennale (ici celle des 49 ans)
et ensuite ne pas lui permettre de se 'réinsérer" dans un milieu "à risque"...