Psychiatre

Jugée après le crime d’un patient
Elle est la seule psychiatre à ne pas avoir diagnostiqué de schizophrénie chez Joël Gaillard, ce patient qu'elle suivait, auteur de l'assassinat d'un retraité en 2004. D C, une praticienne du centre Edourd-Toulouse de Marseille, comparaîtra le 13 novembre prochain devant le tribunal correctionnel des Bouches-du-Rhône. Elle est poursuivie pour "homicide involontaire".....(...)
Les psychiatres inquiets
Pour Me Chemla, avocat des parties civiles, "la problématique que pose ce procès celle de la responsabilité du médecin psychiatre, chef de service d'un hôpital, à qui on remet un malade mental parce qu'il est dangereux", explique-t-il sur Europe 1. Selon lui, D C n’a pas pris "la mesure de la dangerosité et de la gravité de l'état du patient".
De son côté, la psychiatre serait très meurtrie par cette affaire, selon ces collègues. Au sein de l’hôpital, le personnel redoute que le procès conduise les psychiatres à ne plus oser poser de diagnostic dans une discipline particulièrement délicate.
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Jugee-apres-le-crime-d-un-patient-1237557/

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Un psychiatre renvoyé en correctionnelle pour "homicide involontaire"
MARSEILLE (Sipa) — Un médecin-psychiatre de 57 ans exerçant au sein de l'hôpital Edouard-Toulouse, le docteur D C, a été renvoyé devant le tribunal correctionnel de Marseille (Bouches-du-Rhône) pour "homicide involontaire", a-t-on appris jeudi auprès de Me Gérard Chemla, l'avocat de la famille d'un octogénaire tué par l'un des patients du médecin qui avait déposé plainte contre le praticien.
Cette décision de la juge d'instruction Annaïck Le Goff fait suite au meurtre commis par un patient, Joël Gaillard, dont le médecin assurait le suivi de longue date. La psychiatre sera jugée le 13 novembre.
La justice lui reproche une série de négligences dans le cadre du traitement de ce malade. Dans son ordonnance de renvoi devant le tribunal, la juge d'instruction évoque des "fautes multiples et caractérisées" qui "ont contribué au passage à l'acte violent de Joël Gaillard en refusant de poser le moindre diagnostic de maladie mentale" sur le patient.
"Il n'y a pas d'exemple d'un tel entêtement dans le déni de la part d'un médecin psychiatre", a commenté Me Gérard Chemla, l'avocat de la famille de la victime. Germain Trabuc, 83 ans, avait été assassiné à coups de hachette, le 9 mars 2004, à Gap (Hautes-Alpes), par Joël Gaillard, qui se trouvait alors en fugue de l'hôpital psychiatrique.
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120913.FAP8208/un-psychiatre-renvoye-en-correctionnelle-pour-homicide-involontaire.html

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je pense que l'observation de la situation cyclique de Joël Gaillard aurait aidé, car il se trouvait quand même dans une importante période à risque : à l'entrée de sa période critique septennale des 35 ans (34 ans et 4 mois), et c'est un jour critique physique P1 (le "jour pulsions"  plus "fort" de ce cycle) qu'il est passé à son acte criminel...

9 mars 2004 (13/11/1969)
Sa 6 I(26)
Di 7
Lu 8
Ma 9 P(1)
Me 10
Je 11 E(22)
Ve 12
Sa 13
Di 14I(1)


mais ensuite je pense à deux autres éléments intéressants - sauf erreur dans les données que j'ai trouvées - c'est que la psychiatre se trouvait en pleine période critique septennale des 49 ans en 2004 (si 57 ans aujourd'hui) et la phrase de l'avocat ("Il n'y a pas d'exemple d'un tel entêtement dans le déni de la part d'un médecin psychiatre", ) pourrait s'expliquer par la possible "modification de nos paramètres" lors de notre séjour en période critique ou encore par ...une "subjugation" d'un Gaillard à la Manson... (1) (mais là nous entrons dans la psycho-caractérologie en fonction du moment de naissance - à ne pas confondre avec l'astrologie). 

(1) http://semblances.blogspot.fr/2008/12/novembre.html

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édit 13/11 : dans un autre article j'ai trouvé que Joël Gaillard aurait eu une altercation le 26 février 2004, soit environ deux semaines avant son assassinat :
- il s'agit effectivement d'un jour triplement critique, ce jour-là. (P12 - E8 - i17) et
- sa "fugue" datant du 19 février 2004 est en E1 jour critique émotionnel le plus fort :
- son hospitalisation d'office en 2001 correspond à l'année critique i1 qu'est la 33ème année de vie.
- une autre fugue le 27 décembre 2008 a eu lieu en jour critique "fort" physique P7 et intellectuel i1.
Gaillard "fonctionne" donc très bien selon ses rythmes et cycles physiques et psychiques...