dimanche 13 mai 2012

violences conjugales

Le Havre : une femme enceinte fouettée, battue, humiliée
Un homme de 22 ans a infligé de terribles violences à sa compagne, qu'il n'hésitait pas à fouetter, dans leur logement du Havre. Elle était enceinte.
Le prévenu a été condamné à trois ans de prison, dont deux ferme(.....)
« Vous étiez en ménage depuis cinq mois et elle a fini par porter plainte le 7 avril, relate le magistrat. Depuis trois semaines, ça partait en vrille. Il y aurait eu trois épisodes ». Le 15 mars dernier, dans leur logement havrais, il parle au téléphone avec une autre femme. « Vous avez compris qu'elle avait compris », formule le tribunal. Alors que la femme s'apprête à lui adresser des reproches, le garçon sorti de prison en décembre se déchaîne sur elle. Il la pousse sur le lit et la fouette avec sa ceinture. Puis il continue avec ses poings et un pied qu'il appuie sur la tête de sa compagne.

Une semaine plus tard, les violences reprennent. « Monsieur fait preuve d'une imagination forte pour varier les façons de faire mal », lance la procureure. Il frappe alors sa victime à l'aide d'un manche à balai. « A tel point qu'il se casse. On peine à imaginer la force des coups », poursuit le parquet.

Du désodorisant dans la bouche et les yeux
S'il ne nie pas les premiers actes cités, le jeune homme ne réfute pas plus les suivants. Le 5 avril, un câble sert cette fois à blesser la femme avant qu'une bombe de désodorisant ne soit « aspergée dans ses yeux et sa bouche », relate le tribunal.
« Les retentissements traumatiques sont extrêmement importants pour elle. Elle n'a pas pu entendre une nouvelle fois l'évocation des faits », plaide Me Marie Manzanares pour sa cliente, qui a quitté la salle d'audience avant l'heure.
Finalement, de timides regrets à la clôture des débats sont formulés par un prévenu qui demande « des soins ». Ils feront partis des obligations de sa mise à l'épreuve, comme l'indemnisation de la victime (à hauteur de 4 000 euros) et l'interdiction de la contacter. En détention depuis un mois, le récidiviste y est maintenu. Une peine de trois ans de prison dont deux ferme est prononcée à son encontre.
Source : Paris Normandie
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=14074&hl=
 
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possible que cette personne ait des problèmes avec son jour critique émotionnel : pas sûr, mais à vérifier pour faire la prévention, voire pour "guérir" de ce gros défaut vraiment "à risque"...
le jour critique émotionnel est hebdomadaire, s'agissant d'un cycle de l'humeur de sept jours : les violences ont alors lieu de préférence toujours le même jour de la semaine...
ici c'est 15 mars : jeudi
une semaine plus tard : pas précisé mais possiblement aussi jeudi ou mercredi soir ?
5 avril : jeudi...
on peut donc vérifier si cette personne a son jour critique émotionnel le jeudi (native alors du jeudi) et il faut alors lui expliquer qu'elle a à se "tenir à carreau" et être doublement prudente ce jour-là, s'agissant de son jour hebdomadaire de "mauvaise humeur" voire "jour de colère" ou même parfois de possible "coup de folie"...
certaines violences conjugales sont quasi hebdomadaires à cause de cela : il faut le savoir et cela permet de les éviter ou du moins de mieux gérer et prévenir...
l'auteur lui-même comprend ce qui lui arrive et peut plus facilement se maîtriser ou s'éloigner en cas de risque d'escalade .
(vérification nécessaire également du côté de la victime)
l'intéressé semble par ailleurs être passé dans sa période critique septennale des 21 ans, ce qui est également une "période sensible".

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