Emprisonner un délinquant sexuel autiste est cruel"
Un individu, malade mental, convaincu d'agression sexuelle sur une handicapée, a été grâcié en raison de son passé d'abstinent sexuel.
A J, 48 ans, un habitant de Bridlington (Yorkshire), est connu des autorités pour avoir déjà tenté d'abuser deux écolières âgées de 13 et 14 ans. Le 18 avril dernier, l'individu s'en est pris à une handicapée de 21 ans rencontrée dans un parc de la localité. Des promeneurs, alertés par les cris de la victime, ont surpris Jackson les mains glissées dans ses sous-vêtements.
Une récidive qui pourtant a obtenu la clémence du tribunal qui, en raison de l'état mental (syndrome d'Asperger, une trouble neurologique proche de l'autisme) et du passé du coupable, a jugé cruel de l'envoyer en prison. "Vous méritez d'aller en prison. Mais envoyer quelqu'un comme vous en prison serait tout à fait cruel", a déclaré le juge Jeremy Richardson. "Vous êtes à plaindre. Vous n'avez jamais vécu de relation sexuelle. Cela doit être très frustrant. J'ai un devoir public, mais ce serait se tromper de vous imposer un cruel châtiment. Vous ne pouvez pas faire face à la prison. Votre vie deviendrait misérable".
Au final, Andrew Jackson devra se soumettre à deux années de travaux d'intérêt général et écope d'un sursis de dix ans.
Source : Belga le 23 mai 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=14173&hl=
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ici aussi il faut probablement s'intéresser aux pulsions survenant avec l'arrivée d'une période critique septennale, (celle des 49 ans, dans ce cas) : il y a donc effectivement un risque à ce moment-là, ainsi qu'un risque de récidive durant le séjour dans la période critique...)
jour critique physique ou émotionnel ? (pas trouvé la date des premières agressions)
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