Triple meurtre : toujours pas de mobile un an après
Le 3 mars, vers 15 h 30, Joachim Toro aurait d’abord tiré des coups de fusil de chasse sur deux jeunes femmes, dans un endroit isolé, près de la voie rapide à Rivesaltes, où ils s’étaient fixé rendez-vous. Elles ont réussi à prendre la fuite, mais l’une d’elles, âgée de 30 ans, a été blessée à un bras.
Une demi-heure plus tard, alors qu’il était rentré à son atelier situé quai de l’Agly, le plombier aurait alors fait irruption dans son jardin avec son arme et aurait abattu Michel Raspaud, un retraité de 72 ans, avant de s’en prendre à deux employés municipaux, Jean-Philippe Abribat, 35 ans, et Jean-Luc Joffre, 42 ans, qui se trouvaient là.
Selon les premiers éléments, il aurait fait feu sur l’un d’eux qui aussitôt se serait effondré, mort. Il aurait rechargé son arme, faisant feu sur le second et l’aurait achevé alors qu’il prenait la fuite. L’assassin aurait alors mis une dernière cartouche dans son fusil, l’aurait retourné contre lui et aurait appuyé une dernière fois sur la détente. Il avait alors été évacué dans un état critique.
Voilà un an, hier, que Rivesaltes a été frappé par l’affaire la plus sanglante que le département des P.-O ait jamais connue. C’était un jour comme les autres, le jeudi 3 mars 2011, quand, en milieu d’après-midi, tout a basculé.
Trois morts, sans aucun lien entre eux, dont un retraité et deux employés municipaux. Un suspect : Joachim Toro, artisan plombier de 78 ans qui a tenté de mettre fin à ses jours, s’arrachant une partie du visage avec une dernière décharge. Et toujours aucune explication.
Un coup de folie ? Depuis, l’état de Joachim Toro s’est nettement amélioré. Sorti de l’hôpital, il est aujourd’hui placé en centre de détention classique. Il a subi une opération de reconstruction de la mâchoire et selon nos sources, s’exprime quasi normalement. Il a récupéré tant psychiquement que physiquement. Au point d’avoir déjà été interrogé à plusieurs reprises par le juge d’instruction en charge de ce triple meurtre.
Un accident ?
Mais l’homme, au fil des entretiens, maintient la version qui avait été révélée par son avocat Me Béranger Tourné. Celle de l’accident. A savoir que le premier coup de fusil serait parti malencontreusement en direction des jeunes filles et de même pour celui qui a atteint mortellement le retraité. Pour les deux employés municipaux, le mis en cause ne se rappellerait ni pourquoi ni comment il aurait ouvert le feu sur eux. "Un coup de folie", affirme son avocat suite "à une dispute avec les jeunes filles".
Toutefois, l’homme leur aurait donné rendez-vous dans un endroit qu’elles ne connaissaient pas et aurait pris son fusil dans la voiture. Une histoire à cacher ?
Faveurs sexuelles
L’une d’elles, qui a longtemps gardé un bras invalide et qui reste sous le choc, a expliqué entretenir depuis plusieurs années une relation occasionnelle avec Joachim Toro et lui accorder des faveurs sexuelles en échange de contreparties financières. Mais elle a aussi déposé plainte pour des "viols et abus sexuels" qu’elle aurait subis depuis l’âge de 10 ans de cet homme.
Une enquête a été menée sur ces soupçons de pédophilie. Aucune plainte n’aurait été retrouvée avant le drame de Rivesaltes mais des témoignages auraient été recueillis d’autres jeunes femmes affirmant, elles aussi, aussi été agressées.
Joachim Toro, lui, nie en bloc sans avoir encore été entendu sur ce point. Le rapport sur ce volet devrait être déposé incessamment et devrait être joint à l’instruction sur les homicides. Est-ce là un début de réponse ? Est-ce que le retraité, qui craignait semble-t-il Joachim Toro et s’en serait méfié, avait des doutes sur les déviances sexuelles de son voisin ?
Les employés municipaux ne seraient-ils pas simplement les témoins gênants de ce premier meurtre ? Et, s’il y avait eu d’autres personnes présentes, que se serait-il passé ? "La thèse de Joachim Toro est totalement invraisemblable pour les familles des victimes, précise Me Etienne Nicolau, leur avocat et celui des deux jeunes filles. Tous espèrent que la lumière sera faite sur ces crimes et que le procès se tiendra le plus rapidement possible".
Sources : L'Indépendant/Midi Libre le 4 mars 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=9739&st=15
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regardons les cycles : la période critique septennale des 77 ans est là. ceci pour les cycles longs, et c'est déjà un premier élément pouvant aller dans le sens "coup de fureur" plus que "coup de folie"...
le second élément que l'on risque de trouver est le jour critique émotionnel : c'est le jour des coups de folie... et des "pétages de plombs"...
mais pour celà il faut vérifier le cycles courts au moyen de la nate de naissance. ou plus simple pour un premier test : natif du jeudi ?
(âge à vérifier *1932?)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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