suicide ?

Disparues de l’Yonne: pas de nouvelles investigations sur la mort de l’enquêteur
La cour d’appel de Paris a confirmé jeudi le non-lieu dans l’affaire Christian Jambert, le gendarme qui enquêtait sur les disparues de l’Yonne, retrouvé mort en 1997 et dont la famille avait relancé la thèse de l’assassinat en 2004, a annoncé l’avocat de la famille.
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Le 4 août 1997, Christian Jambert avait été retrouvé mort de deux balles dans la tête avec une lettre d’adieu à son chevet, le jour où il devait être entendu comme témoin par un juge d’instruction à propos des liens entre Emile Louis et sept affaires de meurtres non élucidées. L’enquête avait alors conclu au suicide.
En avril 2004, le parquet avait toutefois ouvert une information judiciaire contre X pour assassinat sur la base d’un premier rapport d’autopsie jugeant les deux impacts de balles peu compatibles avec un suicide.
«Contrairement à ce qu’avait affirmé l’expert balistique d’un premier collège d’experts, la carabine retrouvée à proximité du corps, et dont le fonctionnement avait été modifié par Christian Jambert pour que l’arme puisse tirer en rafale, était bien celle qui avait tiré deux balles dont les fragments avaient été retrouvés dans le crâne de l’ancien gendarme», avait expliqué le procureur d’Auxerre en février 2011.
Précisant avoir exploré «plusieurs pistes», analysé «les dossiers médicaux» ainsi que «l’écriture portée sur la lettre», le parquet d’Auxerre avait conclu que l’enquête confirmait que le gendarme s’était suicidé et n’avait pas été victime d’un meurtre.
Source : L'Est Républicain le 16 février 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=2487&st=15&hl=

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26 novembre 1940 : naissance de Christian Jambert à Fourchamúbault (Nièvre). Il est pupille de l'Assistance publique.
1979 à 1987 : Jambert est offiúcier de police judiciaire à la brigade de recherches d'Auxerre.
16 mai 1995: l'adjudant-chef Christian Jambert fait une tentative de suicide par voie médicamenúteuse, à Imphy (Nièvre).
Novembre 1995 : Jambert prend sa retraite. Il réside à Auxerre, avenue de Saint-Georges-sur-Baulche.
4 août 1997 : le corps sans vie de Christian Jambert, 56 ans, est découvert à son domicile. Un exaúmen médical conclut au suicide par arme à feu. Une conclusion reprise par le procureur de l'époque, qui ne requiert pas d'autopsie. Le corps du défunt est inhumé le 7 août, au cimetière des Conches (Auxerre).
5 novembre 2002 : fille du gendarme, Isabelle Jambert dépose plainte avec constitution de partie civile, pour connaître les circonsútances exactes de la mort.
31 mars 2004 : le squelette de Christian Jambert est exhumé pour être expertisé à l'institut médico-úlégal (lUL) de Paris. Conclusion : Il s’agit d’un assassinat. .
2 avril 2004 : le parquet d'Auxerre ouvre une information juúdiciaire contre X pour assassinat.
5 avril 2004 : Philippe Jambert se constitue à son tour partie civile.
23 avril 2004: une contre-expertise conclut au suicide."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=18318
 
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comme nous avons la date de naissance nous pouvons regarder la situation cyclique de Christian Jambert lors de certaines dates citées notamment tentative de suicide et décès :
 
16 mai 1995 (26/11/1940)
Sa 13 I(26)
Di 14
Lu 15
Ma 16 E(15)
Me 17 P(1)
Je 18
pour cette tentative de suicide il s'agit bien du "jour du suicide" qu'est le jour critique émotionnel.


4 août 1997 (26/11/1940)
Ve 1
Sa 2
Di 3
Lu 4 P(6)
Ma 5 P(7) E(15)
Me 6 I(17)
Je 7
Ve 8

le jour critique émotionnel est mardi le 5 août : ce n'est donc pas directement le jour du suicide mais il arrive fréquemment que les passages à l'acte aient lieu autour de ce jour de possible grave dépression. jour critique pjhysique P6/P7 aussi.
pleine période critique septennale des 56 ans (56 ans et 8 mois) http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2011/06/retraites.html