mercredi 4 janvier 2012

raisons confuses

http://www.leparisien.fr/orleans-45000/orleans-2-ans-fermes-pour-le-forcene-de-la-communaute-d-agglomeration-03-01-2012-1795084.php
Orléans: 2 ans fermes pour le forcené de la communauté d'agglomération
Un homme de 63 ans qui avait pris en otage pendant plusieurs heures un cadre de la communauté d'agglomération d'Orléans fin novembre 2010, pour des raisons confuses, a été condamné mardi à trois ans de prison, dont deux fermes, par le tribunal correctionnel d'Orléans.

Il est en outre soumis à une obligation de soins et a interdiction de paraître à Orléans ainsi que d'entrer en contact avec sa victime.
Mohamed Djouad, ancien plombier vivant du RSA, ancien militant associatif et politique bien connu à Orléans, comparaissait pour arrestation, enlèvement, séquestration et violence avec usage d'une arme (qui s'était révélée factice).
Le parquet avait notamment requis quatre ans de prison dont un avec sursis et l'interdiction de paraître dans la région Centre durant cinq ans. Le prévenu risquait au maximum cinq ans de prison et 75.000 euros d'amende.
Le 26 novembre, il avait retenu en otage dans un bureau de la communauté d'agglomération, au centre d'Orléans, Jean-Pierre Degorgue, le directeur de la voirie.
Ce dernier avait été libéré plus de huit heures plus tard, choqué mais sain et sauf, après l'intervention du Raid et la reddition du forcené.
Mohamed Djouad s'était muni d'une réplique en plastique d'un pistolet-mitrailleur, de plusieurs litres d'essence et d'un système de mise à feu, le tout caché dans quatre sacs.
Une première expertise psychiatrique, pratiquée le lendemain de la prise d'otage, avait conclu à l'abolition du discernement au moment des faits. Placé d'office en hôpital psychiatrique, le preneur d'otage semblait devoir échapper à un procès pénal.
Mais deux autres expertises psychiatriques ont conclu à une simple altération du discernement, ouvrant la voie à un procès devant le tribunal correctionnel.
A l'audience, la procureur Anne-Valérie Lablanche a estimé que Mohamed Djouad avait été pleinement "conscient de ses actes" et qu'il présentait toujours "une dangerosité évidente et un véritable rique de réitération".
L'avocat de la défense, Benoît de Gaullier, avait demandé une simple peine de sursis avec mise à l'épreuve, plaidant que son client avait seulement "voulu pousser un cri de souffrance et d'espoir" face à des "injustices" subies tout au long de sa vie.

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la position cyclique de l'intéressé au moment de l'agression peut expliquer un peu mieux les "raisons après tout pas si confuse que çà" : (1)
- lendemain d'un jour triplement critique P7 E15 et i 1 (jour critique simultané des trois cycles, physique, émotionnel et intellectuel)
- à une semaine de son 62ème anniversaire (proximité date anniversaire)
soit quatre "éléments pulsions"
- c'est dans six mois mais approche (proximité) de la période critique septennale des 63 ans
ces éléments peuvent aussi expliquer les divergences entre les expertises psychiatriques, car il est assez difficile de décrire et comprendre, pour le moment, puisqu'il n'a jamais été étudié, le mécanisme de pulsions/désinhibition qui peut se produire périodiquement, lors de la survenance de nos jours et périodes critiques...


26 novembre 2010 (2/12/1948)
Sa 20
Di 21
Lu 22
Ma 23
Me 24
Je 25 P(7) E(15) I(1)
Ve 26
Sa 27
Di 28
Lu 29

 
pour l'agression voir aussi
http://www.20minutes.fr/societe/629661-societe-prise-otage-orleans-forcene-rendu
 
 
(1) sous réserve que la date de naissance trouvée soit bonne, mais comme elle colle au scénario ce serait une coïncidence...

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