Les Français sont parmi les plus gros consommateurs de benzodiazépines en Europe. L’agence française du médicament tire la sonnette d’alarme. Anxiolytiques, relaxantes, amnésiantes… ces molécules peuvent provoquer des comportements désinhibés, parfois des passages à l’acte. Aujourd’hui, des psychiatres pointent la dangerosité de ces traitements souvent prescrits sans en connaître les risques.
http://www.parismatch.com/Actu-Match/Societe/Actu/Mal-etre-suicide-violence-quand-les-tranquillisants-font-disjoncter-benzodiazepines-373633/
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cela pourrait aller dans le sens de ma pensée : j'en étais venu à la conclusion que certains médicaments pourraient provoquer une désinhibition... qui par conséquent peut venir se cumuler avec celle, naturellement présente, lors de notre jour critique émotionnel et de nos autres épisodes critiques, notamment la période critique septennale. nous retrouvons alors un risque augmenté de désespoir, d'agressivité, pouvant conduire à des suicides, drames conjugaux et familiaux dans les cas extrêmes.
ceci explique que nombre de ces drames ont tendance à intervenir de préférence le jour critique émotionnel des personnes, ou lors de leur entrée ou situation dans une période critique notamment septennale : il s'agit en quelque sorte d'épisodes "maillons faibles".
on peut voir à ce sujet
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2010/11/pourquoi-plus-de-drames-en-periode.html
pourquoi plus de drames en période critique ?
pulsions/désinhibition
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2011/02/pulsions-desinhibition.html
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