lundi 7 février 2011

pulsions - désinhibition...

l'humain n'est pas facilement violent car il existe des inhibitions qui, en principe, l'en empêchent.
certains produits peuvent cependant contribuer à une désinhibition de l'individu : l'alcool figure probablement en premier lieu, puis diverses drogues également... et peut-être certains médicaments...

mais il existe aussi certains cycles de notre psychisme qui vont induire périodiquement, à rythme régulier,  des effets similaires :  un effet de pulsions associé à un effet de désinhibition.

et c'est essentiellement dans cet espace de temps que, lorsque certaines conditions extérieures sont réunies et viennent s'ajouter (tensions, conflit, dispute, désaccord, dépression, etc...), que l'humain peut "déraper", et, dans les cas particulièrement graves, "disjoncter", "péter les plombs", avoir un "coup de folie", céder à un "épisode de rage ou de colère", arriver à un stade où il ne se maîtrise plus : et alors parfois passer à l'acte d'agresser voire de tuer l'autre. (ou d'ailleurs parfois se tuer lui-même, aussi... les violences contre soi-même étant souvent aussi de ce fait...)
c'est également dans cet espace de temps ("jours et périodes critiques cycliques") que les pulsions peuvent conduire un individu ayant des problèmes psychiques ou psychiatriques (criminel, délinquants sexuels, pédophiles, etc...) à passer à un acte d'agression, parfois aussi récidiver : l'effet pulsions va "inciter" alors que l'effet "désinhibition" va contribuer à "ne pas retenir"...

en principe nos inhibitions face à la violence sont fortes, plus fortes encore face à l'acte de tuer, de sorte que généralement on est empêché de commettre l'irréparable, nous nous "arrêtons à temps", mais dans certains cas, il arrive que la désinhibition - qui est une sorte de relâchement de nos freins, permette un dépassement "extraordinaire" des limites...
c'est ainsi que l'on retrouvera souvent les jours et périodes critiques, lorsque l'on examine la situation des cycles d'une personne impliquée dans un scénario dramatique...
(c'est là une désinhibition liée à nos cycles naturels : l'absorbtion d'alcool et autres éventuels désinhibiteurs peut augmenter encore le risque en jour ou période critique, puisque les effets ont tendance à se cumuler...)


voici ces jours et périodes, par ordre d'importance :
(sommairement car tous les jours et périodes critiques n'ont pas la même importance, ni les mêmes effets...)

- jour critique émotionnel : il est hebdomadaire et lié à un cycle de l'humeur à pulsation chaque septième jour de notre vie. démarrant le jour de la naissance (tous les cycles dont je parle démarrent à la naissance). il s'agit de ce fait toujours du jour de la semaine où on est né. une personne aura par conséquent tendance à passer à l'acte, à récidiver, le jour de la semaine où elle est née... ou autour de ce jour, par suite d'un effet de tension accumulée.

- période critique septennale : ce sont nos années de la table de sept. la période critique démarre environ six mois avant chaque anniversaire septennal. (voir les dates en marge de droite).

- jour critique physique : c'est un cycle induisant des pulsions physiques et psychiques chaque sixième jour de la vie.

- année critique physique : il s'agit de chaque sixième année de vie. j'ai toutefois constaté que certaines années sont plus fréquemment présentes lors de scénarios dramatiques, notamment les années de vie 24 (âge de 23 ans), 48 (âge de 47 ans) par exemple (ce sont chaque fois les années P1 point de départ d'un nouveau cycle qui dure 23 ans - il s'agit en fait de l'équivalent en "grand modèle" du cycle précédemment cité de six jours. c'est cependant le cycle le moins clair, encore et qui reste à découvrir et expliquer.

- proximité de la date anniversaire.

les aspects intéressants sont alors que l'observation des cycles permet de mieux comprendre et parfois expliquer les éléments moteurs d'un drame arrivé, mais surtout aussi de connaître A L'AVANCE les jours et périodes à risque, permettant ainsi de faire une prévention efficace.

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