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Il tue son voisin puis sa mère : est-il responsable ?
Mario Erga, 36 ans, comparaissait hier devant la cour d’appel de Nîmes. Les juges devaient examiner la responsabilité pénale de ce jeune homme en proie à une très lourde pathologie psychiatrique.
En clair, la chambre de l’instruction doit dire ou pas si ce trentenaire est accessible à une sanction pénale et se retrouver une nouvelle fois devant une cour d’assises. Car ce jeune homme qui habite Cavaillon est déjà passé une première fois par le prétoire des assises de Vaucluse. Il était accusé d’avoir tué son voisin à coups de marteau en juin 2002.
Dix ans de réclusion criminelle
En 2004, il écopait de dix ans de réclusion criminelle (et après la période de détention provisoire) il retrouvait la liberté en mars 2010 et allait habiter chez sa mère à Cavaillon au 9e étage d’une tour. Le 28 avril 2010, il se rendait au commissariat d’Avignon pour où il avouait le meurtre de sa mère. Il l’avait violemment frappée à la tête et l’avait étranglée. Pour ce matricide, un juge d’instruction d’Avignon avait ordonné sa mise en examen. Cet homme est actuellement détenu. Son cas a donné lieu à une série d’expertises psychiatriques et psychologiques.
La plupart tendent à son irresponsabilité pénale. Aussi, le juge d’instruction avant de rendre un non-lieu a saisi la cour d’appel pour lui demander de se prononcer sur cette question de façon collégiale. Hier donc, Mario Erga est venu devant la chambre de l’instruction. Des membres de sa famille étaient sur le banc des parties civiles pour écouter le rappel des faits réalisé par le président Jean-Claude Buet et prendre la parole par l’intermédiaire de leur avocat Me Marc Geiger. Trois experts se sont succédé à la barre pour y rendre publiquement leurs conclusions et décrire le tableau clinique de cet homme souffrant de "schizophrénie paranoïde" le conduisant à des délires.
Il pensait que sa mère portait un "gode-ceinture"
Dans les instants qui précédaient l’homicide sur sa mère, il pensait que celle-ci portait un godemiché ceinture et allait le pénétrer. Il a indiqué avoir entendu "je te mets un petit coup après ça ira mieux". Ce qui aurait provoqué le passage à l’acte durant lequel "il a perdu totalement son discernement", a indiqué le psychiatre Laurent Layet estimant que l’accusé n’était pas accessible à une sanction pénale.
Même avis pour le docteur René Pandelon (qui dirige l’unité pour malades difficiles UMD de Montfavet). Lequel a conclu "à une abolition complète du discernement". Positions reprises par l’avocat général Durand qui a considéré que les charges existaient mais qu’il fallait déclarer l’accusé irresponsable. Me Maurice Fagot l’avocat de ce meurtrier a adopté la même ligne et a rappelé que lors du premier procès il avait dit que "la maison d’arrêt n’était pas adaptée au cas de son client". La cour rendra son arrêt le 25 janvier prochain.
Source : Midi Libre
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un scénario qui ressemble un peu du point de vue de la récidive à celui que j'ai déjà décrit il y a quelques jours sous le même titre de "récidive septennale" (1)
l'intéressé a 36 ans aujourd'hui.
meurtre en juin 2002 (pas trouvé le jour car on pourrait vérifier si c'est un jour critique émotionnel)(2)
mais un meurtre commis à l'arrivée de la période critique septennale des 28 ans. (période de fortes pulsions septennales)
libéré en mars 2010... soit au plus mauvais moment car à l'arrivée de la période critique septennale suivante qui est celle des 35 ans. (période suivante de fortes pulsions septennales) et ce qui pouvait arriver arriva : il tua sa mère un mois après.
prévention : si l'on tient compte des rythmes et cycles humains on sait que l'épisode à risque qui suit celui des 28 ans est celui à venir, des 35 ans, et on peut donc prévenir ce risque.
et pour le futur il ne faudra pas libérer ce monsieur à l'âge de 42 ans car ce sera là l'épisode suivant de "fortes pulsions septennales" lors duquel il sera susceptible d'entendre à nouveau des voix et de tuer quelqu'un.
voir aussi le jour critique émotionnel, probablement pas étranger aux délires at hallucinations.
(1) http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2011/12/recidive-septennale.html
(2) édit : 8 juin 2002 apparemment donc pas le même jour que le 28 avril 2010 mais correspondance possible entre deux jours critiques physiques, autre cycle de pulsions. mais cela reste à vérifier plus précisément.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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