drame conjugal

http://www.liberation.fr/depeches/01012364587-un-couple-de-policiers-retrouve-mort-la-femme-aurait-tue-son-compagnon
NANTERRE (AFP) - Un jeune couple de policiers de la police aux frontières (PAF) a été retrouvé mort tôt dimanche matin à son domicile de Bagneux (Hauts-de-Seine), ont indiqué des sources policières, selon qui la femme a tué son compagnon qui voulait la quitter avant de se suicider.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la jeune femme, une employée à la PAF d'Orly qui fêtait samedi son vingt-deuxième anniversaire, s'est suicidée à l'aide de son arme de service, ont expliqué des sources policières.
Quant au jeune homme âgé de 26 ans, qui travaillait au centre de rétention administrative de Palaiseau (Essonne), il a été tué par sa compagne avec la même arme avant qu'elle ne mette fin à ses jours, selon une autre source policière.
Une lettre signée de la main de la jeune policière a été retrouvée près des corps. Elle y explique son geste par le fait qu'elle ne supportait pas que son compagnon la quitte, a précisé une source policière.
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il est rare que nous ayons la date de naissance des personnes impliquées lors d'un drame... c'est dommage car on pourrait probablement confirmer que ces derniers ont lieu de préférence le jour critique émotionnel des personnes, s'agissant d'un "jour à risque" important en cas de tensions accumulées, ou encore en cas de différend .

le 22ème anniversaire samedi nous donne une naissance le 8/10/1989 et voici alors la situation de la jeune femme :

octobre 2011 (8/10/1989)
Sa 1
Di 2 E(22)
Lu 3
Ma 4
Me 5
Je 6 P(7)
Ve 7
Sa 8 I(17)
Di 9 E(1)
Lu 10
Ma 11 P(12)
Me 12


nous retrouvons une série de ce que j'appelle des "éléments à risque" ou "éléments moteurs" et que je vérifie toujours lors d'un drame :
- situation en jour critique intellectuel i17 samedi
- (surtout) entrée dans le jour critique émotionnel E1 (le plus "fort" des quatre jours critiques de ce cycle et "jour du désespoir" et fréquemment "du suicide")
- proximité anniversaire, puisque apparemment le drame a eu lieu à l'issue de la journée anniversaire (1)
- native du dimanche et drame arrivé dans la nuit de samedi à dimanche (les natifs du dimanche sont dans une situation très particulière du fait de leur jour critique émotionnel définitivement le dimanche - jour de la famille et de la vie sociale)
- passage dans la période critique septennale des 21 ans : celle-ci se termine en principe avec le 22ème anniversaire, sauf si des problèmes sérieux (ici mésentente conjugale) sont nés durant la période critique et peut-être en partie du fait de celle-ci...


la situation de l'époux ou compagnon serait encore à voir.





(1) la proximité de la date anniversaire semble bien être, comme je le pense depuis un moment, un important épisode de possibles pulsions/tensions : je viens de regarder la situation d'une bonne vingtaine de condamnés à mort américains dans les couloirs de la mort du Tennessee, et la moitié d'entre eux ont commis leur crime dans un laps de quatre semaines avant ou après leur anniversaire.


édit 10/10 : tout ceci sous réserve car j'ai trouvé ailleurs des données d'âge différentes : (j'ai vérifié cette nouvelle situation et les éléments à risque ne changent pas. ils sont à la limite aggravés par la situation en période critique septennale des 28 ans de la jeune femme, jour critique émotionnel samedi - et la proximité de la même période critique et de l'anniversaire du jeune homme.)

http://www.leparisien.fr/bagneux-92220/bagneux-une-policiere-tue-son-ami-et-se-donne-la-mort-10-10-2011-1646649.php
Bagneux : une policière tue son ami et se donne la mort.

Marilyne avait tout juste 28 ans. Gardienne de la paix au centre de rétention de Palaiseau (Essonne), la jeune femme s’est suicidée samedi soir, la nuit même de son anniversaire, dans l’appartement de son frère, à Bagneux (Hauts-de-Seine), où elle résidait. Avant de mettre fin à ses jours, elle aurait abattu son compagnon, Ludovic, gardien de la paix lui aussi.
Il travaillait à la police aux frontières d’Orly (Val-de-Marne) et aurait eu 27 ans le mois prochain. La rupture imminente du couple expliquerait le drame. L’histoire d’amour aurait tourné court et Marilyne ne pouvait pas le supporter.
Si cette thèse du dépit amoureux prévalait hier, aux yeux des enquêteurs de la police judiciaire des Hauts-de-Seine chargés de faire la lumière sur ce drame, c’est parce que Marilyne a laissé une lettre d’explications désespérée.
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