mercredi 5 octobre 2011

disparition ancienne

http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=3246&hl=
Affaire Patrick Chabert : la Chambre de l’instruction de la Cour d’appel d’Aix en Provence a osé !
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Mais dans cette affaire, les formes sont déjà bien brinquebalantes et méritent qu’on les examine.
- Patrick Chabert est resté 7 ans en liberté provisoire, tout le temps d’une enquête émaillée d’indolence, de faux témoignages démontrés et d’errances coupables. Il n’a jamais tenté de se soustraire à la Justice.
- Il possède tous les arguments pouvant prétendre à sa remise en liberté, domicile, travail, à plus forte raison avec le contrôle d’un bracelet électronique que son avocat à maintes fois proposé.
Mais comme du temps de « la justice de papa » qui perdure, on motive le rejet par le sempiternel leitmotiv : « risque de trouble à l’ordre public ».
Avec mépris et brutalité, on refuse obstinément cet élargissement provisoire qui permettrait d’atteindre sereinement le procès en appel, prévu en décembre 2011 à la Cour d’assises de Draguignan.
J’ai le vilain sentiment que l’on nous prend pour des imbéciles.
De cette façon, on avalise deux hypothèses hautement fantaisistes sur lesquelles on a posé le socle branlant d’une dite culpabilité, jamais démontrée dans les faits, sans aveux et sans cadavre.
Ce qui m’amène à un pénible constat.
Dans tous les grands dérapages judiciaires avérés et ayant fait scandale, on y retrouve une constante : Un problème d’individus et de comportements. Ce n’est donc pas le fonctionnement de l’institution qui est à remettre en cause.
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Sur quelles fulgurances d’esprit, sur quelles analyses peut-on maintenir un homme non-coupable en détention ?
Nous savons que Patrick Chabert n’a pas pu tuer la disparue, le crime est imaginaire. A moins qu’il n’ait été commis dans un autre endroit, par d’autres gens.
Nous avons expertisé, vérifié point par point ce dossier en friche, entendu des témoins essentiels oubliés, retrouvé des éléments importants qui accusent de curieux personnages, dans une multitude de cartons abandonnés par Nadine…
Ces curieux personnages se sont alliés pour s’installer dans le dossier, jusqu’à l’en pourrir. En accusant le condamné à coups de contre vérités, de mensonges et de manipulations devenus des preuves accablantes contre eux.
Nadine était-elle la femme admirable et irréprochable qu’en chorus ils nous décrivaient ? Non.
Avec eux, elle menait double et même triple vie entre soirées en string rose au réputé Queen à Paris et discours entre amis, arrosé de fumette, avec un mort.
Qui peut affirmer aujourd’hui qu’elle est décédée ?
Qui peut affirmer qu’elle est vivante ?
Personne.
Sauf que, si Nadine a été assassinée, alors il faudra regarder ailleurs, vers d’autres lieux, vers d’autres causes et vers d’autres individus…
Pour preuve de la légèreté de l’enquête : La Présidente de la Cour d’assises de Draguignan, sur demandes des avocats, vient d’introduire une commission rogatoire.
Le fameux disque dur négligé par les enquêteurs et retrouvé par Emilie, la fille de Patrick et de la disparue, dans sa fouille des cartons, va être enfin expertisé. Chaud devant.
Et entre autres investigations, un policier vient de se rendre au domicile des Chabert…Pour faire un reportage photographique, soit des lustres après…
Démonstration qu’à la cour d’Aix en Provence, on a collé 20 ans de RC à un homme clamant son innocence sur une construction intellectuelle bancale, sans même un transport sur les lieux.
J’affirme que l’on ne savait pas de quoi on parlait. Dans cette affaire, le simple fait de se rendre sur l’endroit où l’on a inventé ce crime le rend tout à fait impossible, dans les actes supposés comme dans le temps.
Mais tout ça n’intéresse pas la Chambre de l’instruction d’Aix en Provence.
Elle reste en posture figée, érigée telle une mini Cour de Cassation…
Ce qui lui permet, momentanément, d’éviter un fond bien vaseux dans lequel la vérité reste enlisée.
Ce qui n’est pas sans me remémorer l’histoire d’un certain Ponce Pilate…
Roland Agret
Source : Le Monde

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Nadine CHABERT
- Née le 03 septembre 1969 à ISTRES (13)
- A disparu le 10 juin 2003 à FOS SUR MER (13)

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disparition ancienne dont j'ai cherché un moment puis trouvé la date de naissance de la personne : les articles de presse parlent cependant d'un âge de 34 ans alors que d'après ces données elle n'aurait que 33 ans. donc sous réserve d'exactitude des données.
la date de naissance permet de voir la situation le jour de la disparition, et elle est fort intéressante car elle correspond à une possible "disparition", effectivement...
 
juin 2003 (3/09/1969)
Di 1
Lu 2 I(17)
Ma 3
Me 4 E(8)
Je 5 P(1)
Ve 6
Sa 7
Di 8
Lu 9
Ma 10
Me 11 P(7) E(15) I(26)
Je 12
Ve 13
Sa 14
Di 15
Lu 16 P(12)

sa situation cyclique indique l'entrée dans un jour triplement critique (physique P7, émotionnel E15 intellectuel i26). à l'âge de 33 ans et 9 mois.
le jour triplement critique et une disparition ce jour là, à l'approche de la période critique septennale des 35 ans (on y entre à 34 ans et demi) me font penser ... à un suicide...
et en second lieu seulement, à une "mauvaise rencontre" lors d'une "prise de risque"...

un témoignage qui colle également aux cycles... (si les données sont justes) ce qui tendrait à confirmer sa sensibilité à ses cycles notamment psychique et émotionnel :
"Son second fils, Flavien, 43 ans lui succède. Cet ergothérapeute domicilié à Lyon raconte avec aisance la «complicité» qu’il avait nouée avec Nadine. Puis son éloignement survenu deux ans environ avant sa disparition. «Elle était là physiquement mais pas mentalement», indique-t-il. Je me souviens par exemple qu’elle a passé la journée du 25 décembre au lit à dormir. Une autre fois, lors d’un repas, elle chantonnait en bout de table. Je la sentais sous influence, manipulable.» Quand à la raison des non dits au sein de la famille, Flavien Chabert l’explique ainsi : «nous sommes pudiques par rapport à nos parents, cette pudeur interdisait à Patrick de me dire qu’ils faisaient chambre à part avec Nadine.» "


décembre 2002 (3/09/1969)
Lu 23
Ma 24
Me 25 E(15)
Je 26 P(1)
Ve 27
Sa 28 I(26)

un épisode de blues ou simplement "bernard-lermite" comme j'appelle aussi le jour critique émotionnel et le jour critique physique P1... (ici le 25/26 décembre 2002)

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