c'est un article paru dans le numéro 447 d'octobre 2010 de Fémina.
"Et si, pour comprendre nos problèmes professionnels, il fallait faire un petit tour dans le passé ?"
les témoignages et âges des lectrices intervenantes sont, là aussi, fort intéressants, car ils font ressortir que sur les cinq témoignages, quatre ont un lien avec la situation en période critique septennale de la personne. un sixième témoignage, commenté par "allô ! docteur..." est aussi en lien avec la période critique de la personne.
- "Le syndrome de la bonne élève" : Alice, 43 ans, consultante en iuformatique (période critique septennale des 42 ans)
- "Travailler plus pour venger une "desperate housewife" : Pascale, 39 ans, comptable (pas de période critique ici)
- "Petit dernier cherche augmentation désespérément" : Estelle, 28 ans, webmaster (période critique septennale des 28 ans)
- "Ce que cachent parfois les vocations précoces" : Aline, 42 ans (période critique septennale des 42 ans)
- "Une rivalité qui en rappelle une autre" : Clara, 41 ans, journaliste (période critique septennale des 42 ans)
et
"J'ai une fille de 9 ans. J'ai perdu pied pour son éducation. (Marianne, 36 ans) (période critique septennale des 35 ans).
il y a diverses raisons à cela :
- on a tendance à avoir plus de problèmes, à être plus préoccupé, à être plus conscient de certaines choses et situations, en période critique septennale et autour de celle-ci
- on a plus envie de communiquer, de bouger...
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