le retraite (ne) fait (pas toujours) le bonheur

http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/10/1103167-il-voulait-se-suicider-chez-elle.html
Elle le quitte, il tente de se suicider chez elle

Ancien haut cadre bancaire (7 000 € de retraite), ce Toulousain a mal vécu la mort brutale de son épouse : « Un bonheur de 40 ans qui s'effondre en 5 minutes. » Le sexagénaire est devenu dépressif, sans vie sociale… Propriétaire d'une maison dans le Lectourois, après cinq ans de veuvage, il se dit qu'une native du coin, qu'il connaît depuis l'enfance et devenue veuve, pourrait cicatriser ses plaies à l'âme. Le couple se forme. Mais bientôt la retraitée signifie une fin définitive de non-recevoir à son cavalier, « trop directif » et qui aurait prononcé des paroles insultantes. En décembre, plus dépressif que jamais, l'éconduit se rend au domicile de la veuve qu'il harcèle à coups de mails et d'appels téléphoniques. Il lui demande de renouer. C'est non ! Alors il part chez lui chercher un fusil. Non pour viser celle qu'il dit aimer, mais pour se suicider devant elle. En le quittant, elle lui aurait dit : « Regarde bien mon visage, tu ne le reverras jamais. » Des mois plus tard, il lui répond : « Regarde bien mon visage, il hantera toutes tes nuits ». Finalement « maîtrisé » par le fils de la veuve, le Toulousain ne s'est pas suicidé. A la barre, il met sur le compte de sa « dépression sévère » l'épisode peu glorieux.
Me Isabelle Bru, partie civile, veut que sa cliente soit bien reconnue victime de violence avec arme. Car un dépressif qui revient chez vous avec un fusil, ça effraie ! Elle ne demande que l'euro symbolique et surtout que l'ex-banquier ne tourne plus jamais autour de sa seconde dame de cœur. Le parquet mise sur un retour à toute sa raison de ce grand-père désormais suivi par un psychiatre, à qui le fusil est confisqué mais qui n'est pas condamné à verser le symbolique… sept millièmes de sa retraite mensuelle au titre des dommages et intérêts.

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pas trouvé l'âge du banquier :-) pour savoir s'il a fait une dépression septennale, ce qui ne serait pas étonnant...
les âges des possibles sévères dépressions pour les personnes retraitées :
- autour des 56 ans, 63 ans... 70 ans...
pensons y avant de vouloir nous suicider...