Le Brésil autorise la masturbation sur le lieu de travail C’est une première : Au Brésil on peut désormais se masturber quinze minutes toutes les deux heures au bureau, et même, à cet effet, accéder à des images érotiques… quand il devient impossible d’y résister. Cet « acquis » résulte-t-il d’une longue lutte sociale tenant compte de spécificités nationales ? Pas tout à fait. Au bout d’une bataille juridique de deux ans, une brésilienne a été autorisée par un tribunal à se masturber tout en travaillant. La particularité de cette femme ? Elle souffre d’une maladie rare, l’orgasme compulsif. Ce trouble lié à un déséquilibre neurochimique la pousse à rechercher constamment l’orgasme.
Ana Catarina Silvares Bezerra est divorcée et âgée de 36 ans. Cette brune cheveux au vent, qui a trois enfants, habite à Vila Velha, une ville bordée par une magnifique plage de sable chaud, dans l’Etat de l’Espirito Santo. Elle est experte comptable et elle aime se faire plaisir à toute heure du jour et de la nuit. Ana Catarina est en effet à la recherche permanente de l’orgasme, et elle ne s’en cache pas au quotidien brésilien North Regiao : « Je me masturbe jusqu’à 47 fois par jour. Mais quand j’ai commencé à réaliser que cette situation n’était pas tout à fait normale, j’ai donc décidé de me faire aider ». Elle a donc commencé par prendre des médicaments sédatifs pour arriver à endiguer ses envies. Et des progrès ont été enregistrés : L’experte comptable ne se masturbe « plus que » 18 fois par jour… mais elle ne peut ralentir davantage.
Comment peut-on dans ces conditions se concentrer et faire son travail correctement au bureau ? Plutôt que de consulter un psychiatre ou autre expert de santé, Ana Catarina Silvares Bezerra a opté pour une solution plus radicale : Elle a saisi les tribunaux pour avoir l’autorisation légale de se masturber au travail. Et la justice lui a donné raison. La brésilienne compulsive est désormais officiellement autorisée par la loi de son pays à « se faire plaisir » pendant quinze minutes toutes les deux heures sur son lieu de travail.
Ana Catarina serait pour l’heure la seule femme brésilienne a avoir été diagnostiquée avec ce trouble. Pourtant, selon de Docteur Carlos Howert Jr., spécialiste en neurologie sexuelle, « d’autres brésiliennes sont très certainement atteintes de cette maladie ». En attendant de voir si ce cas pourrait éventuellement faire jurisprudence en France et dans le reste du monde, le site Psychomédia rappelle qu’une première étude sur le sujet, datant de 2007 et publiée dans le Journal of Sexual Medicine, observait que « les femmes souffrant du syndrome d’excitation génitale continue, une condition rare caractérisée par des sensations non provoquées, persistantes et intrusives d’excitation génitale qui ne sont pas soulagées par un ou plusieurs orgasmes, souffrent souvent de dépression et d’anxiété reliées à ce trouble ». Les causes et les traitements du trouble en question ne sont toujours pas identifiés, mais en attendant cela ne peut pas faire de mal de se faire plaisir.
http://www.carevox.fr/psycho-sexo/article/le-bresil-autorise-la-masturbation
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