drame familial

Il tue sa belle-mère âgée de 84 ans
Pour permettre aux gendarmes de procéder aux constatations, les forces de l'ordre ont coupé la circulation dans la rue.
Heiltz-le-Maurupt (Marne). Un drame familial s'est joué hier après-midi à Heiltz-le-Maurupt, village situé à 20 km de Vitry-le-François. Un homme de 59 ans a tué sa belle-mère d'un coup de fusil.
IL était à peine 14 heures hier lorsque les gendarmes reçoivent un appel téléphonique : un habitant d'Heiltz-le-Maurupt, village de quatre cents âmes situé à une vingtaine de kilomètres de Vitry-le-François, annonce qu'il vient de tuer sa belle-mère âgée de 84 ans à l'aide d'un fusil, celui de son épouse adepte de la chasse. Il attend la venue des gendarmes.
Rapidement sur les lieux du drame, les forces de l'ordre ne rencontrent aucune difficulté pour interpeller Alain Garinet, l'auteur du coup de feu fatal à sa victime, Huguette Remonville.
Cette ancienne du village résidait dans une maison sise 5, rue Cacheleu, près de l'école primaire. L'octogénaire vivait sous le même toit que sa fille, t son beau-fils et sa petite-fille âgée de 18 ans. Les membres de la famille vivaient ensemble depuis de nombreuses années sans que cela pose de problème majeur.
En tout cas, personne ne semblait au courant de tensions.
« Une famille sans problèmes »
Dans le village, ceux qui connaissent de près ou de loin l'auteur du coup de feu, l'apprécient pour sa gentillesse. « Il nous disait toujours bonjour et ne présentait aucun problème. On connaît bien sa fille. Il n'y avait pas l'air d'avoir de problèmes particuliers chez elle », confiaient hier soir deux jeunes filles du village.

Malade depuis quelques années, Alain Garinet, âgé de 59 ans, ne travaillait plus, même s'il n'était pas encore à la retraite. Employé chez Vallourec (aujourd'hui Salzgitter), il avait quitté son poste à la suite de sa grave maladie. Il était toutefois en voie de guérison, selon les dires de proches.

Tout comme de nombreux habitants du village, qui voulaient bien parler hier, le maire de la commune, Pascal Bailly, ne trouvait pas d'explication à ce drame.
« C'était une famille sans problèmes, se désole-t-il. Plusieurs générations vivaient sous le même toit, mais rien ne laissait présager un tel acte. On est tous très peinés. » La victime, Huguette Remonville, avait travaillé plusieurs années comme employée communale.
Employée communale
Elle avait fait le ménage dans les écoles du village. Elle avait, en outre, occupé la fonction de gardienne des douches publiques. Hier soir, son beau-fils était toujours en garde à vue. Une audition au cours de laquelle il devait donner plus d'explications à son geste.
Un acte qui restait un mystère pour le village, plongé hier soir dans une profonde tristesse pour la famille.
Source : L'Union
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=10102&hl=

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quelques indices que je vois si je m'intéresse à la situation cyclique des personnes : pleine période critique septennale pour la victime, à 84 ans, et possiblement remonter à la période critique des 56 ans de l'auteur (malade depuis ce moment là et en voie de guérison aujourd'hui). l'année de vie 58 est parfois aussi une année critique physique difficile.
et comme toujours : voir le jour critique émotionnel des personnes... (réflexion, altercation... ?)