en sachant qu'il y a des "moments particuliers" lors desquels nous sommes à tour de rôle "plus sensibles" : cela va de la simple irritabilité, en passant par la mauvaise humeur, jusqu'à l'irruption ou la manifestation de notre face Hyde... avec des conséquences comme de fortes tensions, disputes et scènes de ménage, crises de divers ordre de grandeur, et dans les cas plus graves ... cela peut finir par une totale mésentente et une séparation...
or ces moments sont fréquemment liés à deux cycles de nos humeurs, nos "hauts et nos bas" en quelque sorte : ils surviennent régulièrement de sorte que si on le sait, on est prévenu à l'avance.
voici ces cycles et leurs rythmes :
- on peut être de fort mauvaise humeur toujours le jour de la semaine où on est né : ce jour là on est "à prendre avec des pincettes" : si on le sait on y prend garde et au moyen d'un accord commun préalable on ne tombe pas dans le piège de la "bagarre du jour critique émotionnel". c'est ainsi que j'ai appelé ce jour qui se produit chaque septième jour de notre vie, le jour de la semaine où nous sommes venus au monde (pas d'astrologie, mais la semaine étant de sept jours et le cycle à pulsation chaque septième jour, ce sera mathématiquement toujours notre jour de naissance, que survient notre "jour critique émotionnel" jour de possible irritabilité et mauvaise humeur, cafard et tristesse, voire crise d'angoisse aussi, ce dont il est également important de se rappeler (prédominance des suicides le jour critique émotionnel)...
attention le jour critique émotionnel démarre déjà la veille au soir : né un dimanche vous pouvez démarrer tristesse au mauvaise humeur dès le samedi soir et jusqu'au dimanche soir. né un mardi ce sera de lundi soir à mardi soir. etc...
pas systématiquement, bien sûr, mais certains "jours critiques émotionnels" de façon alors plus ou moins importante.
je conseille de se rappeler de cette règle et du jour critique émotionnel de chacun (donc le jour de la semaine où nous sommes nés) : si problème ce jour là on ralenti, lève le pouce et fait une pause dans la discussion, ou le différend, jusqu'au jour suivant où en principe on sera mieux à même de discuter plus sereinement... (sauf qu'en principe en n'en aura plus envie car nos préoccupations ne surgissent souvent que... notre jour critique émotionnel... car il est fait pour cela, mais c'est un autre sujet...) tout cela reste est à étudier car les réactions sont diverses et individuelles, fonction aussi de nos soucis du moment.
là c'est un "cycle court" puisque à pulsation chaque septième jour.
(ce cycle est aussi important chez l'enfant qui se fera certainement remarquer plus souvent le jour de la semaine où il est né : en tenir compte permet là aussi de bien mieux gérer les rapports).
- le second cycle est un cycle long : nous passons par une période sensible chaque septième année de notre vie : c'est ainsi qu'il faut "se surveiller" lorsque nous approchons de nos anniversaires septennaux (par exemple après notre 27ème, 34ème, 41ème, 48ème anniversaire par exemple, bref dès que nous entrons dans une année de vie et allons vers un anniversaire de la table de sept. (dans les exemples cités 28 ans, 35 ans, 42 ans, 49 ans, etc... )
les conséquences ressemblent à ce que j'ai expliqué précédemment sauf en plus profond et plus long... : "dépressions septennales" pouvant être parfois très graves et longues, remise en cause de tout un tas de choses... et notamment de notre relation de couple du fait d'un possible "quasi changement de personnalité" suite à l'arrivée de la "période critique septennale" : je pense pour ma part que la majorité des séparations ont un lien avec la survenance d'une période critique septennale de l'un ou l'autre des partenaires d'un couple, mais les deux peuvent s'y trouver ensemble ce qui n'arrange pas les choses.
et là aussi, si on en tient compte à l'avance, cela permet de comprendre et réagir plus sereinement à des tensions qui surviennent : on aura moins tendance à dramatiser et paniquer, à avoir des réactions parfois trop violentes...
on sait aussi qu'il ne s'agit que d'un passage et d'un effet momentané (de quelques semaines, mois à années parfois, quand même : c'est selon les personnalités, la situation et les éventuels problèmes "en souffrance"...) mais on pourra mieux comprendre et gérer, s'entr'aider et se soutenir...
il est aussi possible que la survenue d'une période critique septennale chez l'un ou l'autre partenaire d'un couple révèle que l'on n'est pas ou que l'on n'est plus fait l'un pour l'autre. c'est que la période critique découvre notre vraie personnalité mais aussi nous fait évoluer et donc change notre personnalité : il se peut alors qu'elle ne soit plus celle qui existait au départ.
dans ce cas la prise en compte de ce mécanisme permet de mieux comprendre ce qui arrive et il n'y a alors aucune raison de ne pas discuter du problème et si on en vient à cette conclusion, se séparer sur un accord et en bons termes. (il faut abandonner la notion de droit de propriété sur l'autre si l'on veut éviter des drames gravissimes coûtant parfois la vie au partenaire et même aux enfants). à l'instar des célébrités de ce monde qui opèrent des séries de mariages et partenariats successifs sans réels problèmes...
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