samedi 29 janvier 2011

suicide

http://www.lefigaro.fr/sante/2011/01/28/01004-20110128ARTFIG00589-un-traitement-contre-l-acne-mis-en-cause-apres-un-suicide.php
Un traitement contre l'acné mis en cause après un suicide
Le père d'un adolescent qui s'est donné la mort en 2007 a engagé une action en justice contre trois laboratoires qui fabriquent des médicaments à base d'isotrétinoïne.
«Maman, je ne sais pas ce que j'ai depuis trois semaines, mais là, j'en ai marre. J'en peux plus, j'ai toujours mal quelque part, les articulations, le dos, les ongles incarnés, le pied, ma peau qui me gratte tout le temps. C'est des petites choses accumulées, mais c'est dur». Alexandre Voidey, 17 ans, a laissé ce message avant de se pendre en 2007. Le jeune homme suivait depuis sept mois un traitement lourd contre l'acné, à base d'une molécule appelée isotrétinoïne, plus connue sous le nom de Roaccutane. Trois ans après le drame, son père a décidé de poursuivre en justice trois laboratoires commercialisant ce type de médicament.
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"Il allait avoir 18 ans ce 4 Janvier 2oo8"

dit le blog http://jabiru.blog.lemonde.fr/
à propos d'Alexandre qui s'est pendu dans un parc tôt le matin du 2 juillet 2007.

ces données vont me permettre de regarder sa situation cyclique à ce moment-là et trois semaines avant car il disait dans ses mots qu'il a laissés qu'il n'était pas bien depuis trois semaines :

Juillet 2007
Di 1
Lu 2 P(18)
Ma 3 P(19)
Me 4
Je 5 E(8)
Ve 6
Sa 7
Di 8 P(1) I(26)

à 17 ans et 6 mois (année de vie P18) il se suicide son jour critique P18. (P18 et P19 fonctionnent en paire et constituent un down physique important de notre cycle physique de l'énergie de 23 jours. il a de ce fait également une incidence sur notre forme morale.).
la situation trois semaines auparavant et qui serait un point de démarrage d'un malaise persistant depuis, correspond en fait au même down précédent P18/P19 (9 et 10 juin)
ce mal être depuis trois semaines semble bizarrement être en contradiction avec la vidéo publiée en hommage et prise quinze jours avant le drame. mais je peux me tromper sur la chronologie aussi...


et sinon, dans le même article :
"Cause du suicide : l'acné ou le médicament ?
Le problème du suicide de certains jeunes prenant ce traitement est dramatique et de nombreuses équipes de recherche ont tenté de mettre en évidence un effet direct du médicament, voire d'expliquer comment il peut pousser un ado à mettre fin à ses jours. En vain jusqu'à présent. Car il est prouvé que les formes graves d'acné peuvent aussi entraîner d'importants problèmes psychologiques et des idées suicidaires. Dans ces conditions, il est difficile de définir la part exacte du traitement dans le passage à l'acte.
La plus récente étude est suédoise. Publiée en novembre dernier dans le sérieux British Medical Journal, elle a étudié a posteriori le risque de dépression et de comportements suicidaires chez plus de 5 700 patients âgés de 15 à 49 ans ayant pris ce traitement entre 1980 et 1990, en recherchant les causes d'éventuelles hospitalisations ou de décès. Selon ses auteurs, "étant donné le risque accru de tentative de suicide observé au cours des années précédant le traitement, il n'est pas possible de déterminer si la hausse qui se poursuit pendant et après le traitement est liée à l'évolution naturelle de l'acné sévère ou aux effets négatifs de l'isotrétinoïne." Ces chercheurs supposent - comme d'autres auparavant - que l'acné sévère est un facteur de risque en soi de tentative de suicide, mais que l'isotrétinoïne pourrait provoquer ou renforcer un tel comportement chez des personnes plus vulnérables, même assez longtemps après l'arrêt du traitement.

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l'acné, le médicament...  nos cycles et nous...
- les jours et périodes critiques de nos cycles naturels constituent des éléments "déclencheurs" à un moment donné : on sera effectivement plus vulnérable à ce moment-là si on est traumatisé par un acné sévère. l'étude citée ci-dessus devrait prendre en compte les jours et périodes critiques : bizarrement et probablement pas une simple coïncidence, la fourchette des âges étudiée
va de la période critique septennale des 14 ans à celle des 49 ans.

il faudrait faire l'étude statistique au jour précis des cas de suicide ou mal-être : on découvrirait certainement des choses très intéressantes, notamment la présence fréquente des jours et périodes critiques.
- le médicament : fort possible qu'il vienne s'ajouter en tant que facteur renforçant le risque...
- l'acné a souvent un lien avec notre alimentation : ado ou déprimé ou les deux on a tendance à manger des aliments "acnéïsants"
- un acnéïque a peut-être tendance à se laver de plus en plus frénétiquement : récemment un article disait que des chercheurs avaient découvert que trop d'hygiène, trop de décapage de la peau accentuait le risque de devenir dépressif.    http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2011/01/hygiene-et-depression.html

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