cavalière disparue

http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=9112&hl=
Cavalière disparue : où en est l'enquête ?
DERNIER POINT CE JEUDI APRES MIDI
Les espoirs de retrouver Christine Hulne saine et sauve s'amenuisent.
Jeudi, cela fait déjà quatre jours que la cavalière, partie pour une balade en forêt dimanche matin, n'a plus donné signe de vie.
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Toujours selon Le Figaro, des enquêteurs, se basant sur la personnalité de cette mère de deux ados présentée comme "mélancolique", s'inquièteraient de son "tempérament suicidaire."
"Quelqu'un qui met fin à ses jours a plutôt tendance à se cacher du regard des autres pour commettre l'irréparable" affirme aussi au Figaro un expert en enquêtes criminelles.
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un possible état mélancolique voire tempérament suicidaire - à 43 ans lorsque l'on vient de passer - avec difficultés probablement - par la période critique septennale des 42 ans... (dépression septennale) pas de très bon augure tout çà...
on peut vérifier par contre si dimanche est le jour critique émotionnel si native du dimanche, dans ce cas... (ou à côté)
(le jour critique émotionnel est fréquemment le "jour des accès de désespoir"...)


édit (SKCenter) 8/01/2011 :
Cavalière disparue - Pour son père, elle a été enlevée

Les recherches se poursuivaient hier pour retrouver Christine Hulne, 43 ans, la cavalière disparue dimanche en forêt près de Magny-les-Hameaux (Yvelines).
..................Gérard lui a dit de ne pas sortir car les sols étaient détrempés et certains terrains encore gelés. Mon mari connaît parfaitement le comportement des chevaux. Et dans ces conditions, l’animal peut glisser. » Un conseil que la « petite », comme l’appellent affectueusement les Castilla, n’a pas écouté. Coiffée d’un bonnet blanc surmonté d’une bombe noire, elle a expliqué à l’éleveur qu’elle allait « faire une sortie plus longue que d’habitude », car elle se sentait « fatiguée ». Surmenée par trop de travail, Christine Hulne a même décidé de laisser son portable chez elle. « Elle nous a dit qu’elle ne serait pas dérangée par son téléphone au cours de sa promenade », ajoute Mme de Castilla.
.................l’angoisse grandit quand le cheval est retrouvé, dès le lendemain, sans sa cavalière, dans le champ d’Anne, une commerçante du vieux village de Magny-les-Hameaux. Aussitôt, cette dernière fait un rapprochement capital. « J’ai dit aux gendarmes que c’est le même cheval que j’avais croisé la veille, aux alentours de midi, rapporte-t-elle. J’arrivais chez moi en voiture, quand j’ai dû m’arrêter pour laisser passer une cavalière, coiffée d’un bonnet blanc, marchant en tenant son cheval par la bride. L’animal n’était pas nerveux mais très tonique. Ça m’a interpellée. » Christine, partie avec un sac à dos, serait donc revenue au village trois heures après son départ des écuries.

Etrange rencontre
Que s’est-il alors passé après le retour de Christine Hulne à Magny-les-Hameaux ? Pour les enquêteurs, toutes les hypothèses sont envisageables. ...................
Très serviable et appréciée de sa clientèle à Palaiseau, ce petit bout de femme dynamique montait aussi régulièrement à cheval avec son père, Pierre, pour qui la thèse de l’accident ou du suicide est exclue. « Pour lui, sa fille a été enlevée », atteste, effondrée, une voisine et amie de Christine Hulne. La cavalière aurait-elle été victime d’une mauvaise rencontre ?
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Le même jour, une perquisition avait lieu aux Ecuries de Gomberville, ainsi qu’au domicile de l’infirmière. Sans résultat. « Mon mari l’aimait beaucoup, répète, affligée, Ghislaine de Castilla. Elle s’en était beaucoup occupée quand il était tombé malade. Aujourd’hui, il s’en veut de l’avoir laissé partir. Quand le cheval est revenu à l’écurie, il était extrêmement nerveux. Si cette bête pouvait parler… »
Source : France Soir

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quelques éléments intéressants encore dans cet article :

- "elle a expliqué à l’éleveur qu’elle allait « faire une sortie plus longue que d’habitude », car elle se sentait « fatiguée ». Surmenée par trop de travail, Christine Hulne a même décidé de laisser son portable chez elle. « Elle nous a dit qu’elle ne serait pas dérangée par son téléphone au cours de sa promenade »,
en général c'est le contraire que l'on fait : on emporte le portable pour des raisons de sécurité car il permet d'alerter les secours en cas de nécessité.
la personne ne semble donc pas avoir voulu de çà car "exclure la thèse de l'accident" ne me semble pas possible. pourquoi ne voulait-elle pas être dérangée au point d'exclure son portable, seul moyen d'appeler du secours en cas de chute par exemple. (en jour critique physique notamment, celui-ci étant le jour des accidents)
c'est en fait l'élément le plus inquiétant car on le retrouve assez fréquemment chez des personnes sereines et très sûres d'elles, qui ont subitement l'air très bien... "rassérénées" parce qu'elles ont clôs le chapitre et décidé d'en terminer... (burnout en cas de dépression septennale)... j'espère bien sûr que çà ne soit pas le cas...

- le cheval "nerveux" s'est probablement rendu compte qu'il est arrivé quelque chose d'inhabituel. le cheval ressent...
mais un cheval a aussi tendance à être nerveux lorsque le cavalier se trouve dans son jour critique émotionnel : on a alors tendance à être stressé, facilement irritable et l'animal ne l'acceptera pas facilement ou sous la contrainte... on n'arrivera souvent à ne pas se faire entendre et le cheval sera "désobéissant".

cavalier, dresseurs, (y compris de chiens) devraient toujours tenir compte de leur jour critique émotionnel car ce sont des jours où les rapports avec cheval ou chien peuvent être très délicats... voire donner dans des impasses.

- "enlever" ou agresser une cavalière me semble moins évident, à moins qu'elle ne soit à pied, car sur son cheval il suffit d'un geste pour partir au galop...

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édit 9/01 : (la voix du nord)
La cavalière disparue depuis dimanche dernier en forêt de Rambouillet a été retrouvée pendue à Milon-la-Chapelle, dans les Yvelines. La piste du suicide est privilégiée.

(reste ouverte la question de savoir si elle est passée à l'acte son jour critique émotionnel... ?)