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Un antidépresseur impliqué dans la tuerie familiale de Pouzauges
Les enquêteurs privilégient l’hypothèse de l’antidépresseur sertraline pour expliquer le coup de folie du médecin qui a massacré, au mois de mai en Vendée, femme et enfants avant de se suicider.
Pour la première fois en France une affaire pourrait directement impliquer un antidépresseur dans le déclenchement d’une tuerie. L’enquête sur le drame du 31 mai, à Pouzauges, en Vendée, dans lequel Emmanuel Bécaud, un médecin de 34 ans, est soupçonné d’avoir tué ses quatre enfants puis sa femme, avant de se donner la mort, se centre sur le rôle qu’a pu jouer dans cette folie meurtrière un médicament antidépresseur.
De source proche de l’enquête, on indique que « les analyses toxicologiques effectuées sur le docteur Bécaud ont révélé qu’il prenait de la sertraline, un antidépresseur. Nous n’avons pas trouvé trace d’autres produits dans son organisme. On soupçonne ce médicament d’avoir été l’étincelle qui a mis le feu aux poudres et a déclenché le massacre ». La sertraline est le plus souvent vendue sous la marque Zoloft. Xavier Pavageau, le procureur de la République de La Roche-sur-Yon (Vendée), fera ce matin une conférence de presse sur ce sujet.
Les enquêteurs ont des soupçons car des effets secondaires gravissimes de ce produit ont déjà été signalés chez nos voisins. En Angleterre notamment, le docteur Andrew Heixheimer, expert devant les tribunaux, nous indique que « la sertraline peut elle-même, comme d’autres antidépresseurs, conduire à de sévères agitations, et occasionnellement déclencher des violences majeures. Heureusement pas pour tout le monde, sinon il y aurait des millions de suicides et de crimes pour ce motif, vu les quantités d’antidépresseurs vendues dans le monde ». Aux Etats-Unis, des tribunaux ont eu à se pencher sur des cas de « folie meurtrière » de patients qui prenaient cet antidépresseur, de même que le Deroxat ou le Prozac.
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Source : Le Parisien
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antidépresseurs ? ou antidépresseurs en période critique ? ou simplement période critique ? il faut dire que c'est en période critique que sont probablement consommés le plus d'antidépresseurs puisque ce sont par définition des périodes de dépression...
peut-être que la consommation de certains antidépresseurs en période critique septennale serait alors à reconsidérer, si par exemple ils peuvent provoquer de l'agitation et d'autres symptômes perturbants, sachant que la situation en période critique peut provoquer à elle seule ce type de trouble... un antidépresseur pourrait alors encore accentuer le phénomène.
les antidépresseurs ont un effet désinhibiteur : la période critique septennale est elle-même accompagnée d'un effet de pulsions/désinhibition, c'en est l'un des éléments importants : l'antidépresseur contribue alors à diminuer encore, voire faire disparaître l'inhibition...
il faudrait savoir quel est le pourcentage de cas de folie meurtrière ayant un lien, comme ici, avec la situation en période critique septennale des personnes. je pense que l'on devrait trouver une majorité de personnes et périodes et/ou en jour critique.
je n'ai pas trouvé la date de naissance précise du médecin mais s'il a 34 ans il se trouvait probablement à l'entrée de sa période critique septennale des 35 ans et celle-ci constitue un moment de possible pic de dépression.
son épouse semble avoir le même âge de sorte qu'il y a une compatibilité entre les deux ce qui accentue encore les choses...
à vérifier aussi le jour critique émotionnel des personnes souvent autre élément déclencheur de coups de folie.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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vendredi 2 juillet 2010
antidépresseur ?
édit 4/11/2022 : vu juste puisque c'était son jour critique émotionnel E1 en épisode critique semestriel que Emmanuel Bécaud a tué sa femme et ses quatre enfants, puis s'est suicidé :
Emmanuel BECAUD
(34 ans)
02/11/1975
à la
Roche-sur-Yon
(Vendée)
Ve 28
Sa 29 P(1)
Di 30 E(1)
Lu 31
jour critique émotionnel E22 samedi 29 pour l'épouse Sylvie née Vrignault (*1/02/1975) : donc jours critiques émotionnels successifs...
(la médecine et la psychiatrie ne connaissent pas encore les rythmes psychiques même si ceux-ci sont en cause lors de la majorité des drames)
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