http://www.humanite.fr/2010-03-01_International_Algerie-questions-sur-un-crime
Algérie, questions sur un crime
Selon la presse algérienne, le meurtre du premier flic algérien, Ali Tounsi, intervenant dans un contexte de lutte anticorruption, serait annonciateur d’autres crimes.
Ni les médias ni la rue algérienne ne se sont satisfaits de la version officielle concernant l’assassinat du patron de la police algérienne, dans la matinée de jeudi dernier. Selon le communiqué du ministère de l’Intérieur algérien, le meurtre a eu lieu « lors d’une séance de travail au cours de laquelle un cadre de police, apparemment pris d’une crise de démence, a utilisé son arme et blessé mortellement le colonel Ali Tounsi ». L’assassin, le colonel Chouieb Oultache, adjoint d’Ali Tounsi, aurait vidé son chargeur lorsque son patron lui a signifié la fin de sa mission pour une affaire de corruption révélée le jour même par le quotidien Ennahar.
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la notion de crise de démence devient plus plausible, pour moi, s'il s'avère que le tireur se trouve effectivement en plein dans sa période critique septennale des 63 ans... (enfin je traduis plutôt crise liée à la période critique septennale, parce que ce n'est pas de la démence...)
mais je ne suis pas sûr de cet âge : pas trouvé grand chose, hormis une naissance en 1946, semble-t-il du colonel Oultache.
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