Treiber Jeckyll s'est pendu, samedi, dans sa cellule, en laissant apparemment un mot où il expliquait "qu'il en a "marre" d'être considéré comme un "criminel" et qu'il ne supporte plus de ne plus voir les gens qu'il aime".
on ne saura donc jamais "officiellement" ce qui s'est passé et pourquoi...
si l'on s'intéresse aux rythmes et cycles psychiques et émotionnels, on constate cependant que le 1er novembre 2004 Treiber Jeckyll n'était pas là... mais il y avait Treiber Hyde, dont c'était l'Heure...
ceci pourrait éventuellement expliquer que Jeckyll ne comprend pas et n'accepte pas, ce qui s'est peut-être passé.
Jean-Pierre Treiber se trouve en effet le 1er novembre 2004 dans une situation doublement "psychiquement à risque" ou "à état différent" ou "décalé" :
- né le 8 avril 1963, il est entré - en passant à ce moment là par un pic de pulsions/désinhibition - en octobre 2004 - dans sa période critique septennale des 42 ans.
- le 1er novembre 2004, jour du meurtre, il se trouve dans son jour critique émotionnel E8 (8ème jour de son cycle psychique et émotionnel de 28 jours)
autre état de "pulsions/désinhibition".
octobre 2004 (8/04/1963)
Sa 30
Di 31
Novembre 2004
Lu 1 E(8)
Ma 2
Me 3
ce sont là nos "périodes" et nos "jours" "Hyde". et certaines personnes peuvent carrément changer de personnalité, momentanément ou parfois même définitivement.
or période critique septennale (un pic de pulsions se situant au moment de l'entrée dans cette période) et jour critique émotionnel (il est hebdomadaire) sont des épisodes de pulsions/désinhibition qui sont souvent présents lors de "passage à l'acte" violents ou dramatiques.
cela est lié à l'effet de pulsion accompagné d'un équivalent de désinhibition : cette situation se produit et reproduit :
- à l'arrivée de chacune de nos années septennales (pic à environ six mois avant l'anniversaire septennal)
- chacun de nos jours critiques émotionnels, celui-ci étant hebdomadaire.
(septennal puisque résultat d'un cycle (long) psychique et émotionnel fonctionnant au moyen de pulsations septennales - et hebdomadaire puisque résultat d'un cycle (court) fonctionnant au moyen de pulsations au rythme de sept jours).
le jour critique émotionnel étant hebdomadaire, il arrive tous les sept ans qu'il se situe durant un laps de temps, à l'intérieur d'une période critique septennale : cela aura pour effet de cumuler l'effet pulsions/désinhibition et ainsi de faciliter les actions en tout genre. (le mécanisme est d'abord prévu "pour nous faire bouger dans le bon sens"... mais il arrive aussi des pannes ou des blocages, de mauvaises directions... ce qui peut alors donner lieu à des actes inconsidérés et/ou violents, ou encore de graves et longues dépressions...)
on trouve fréquemment, lors de passages à l'acte criminels ou dramatiques les éléments que sont la période critique septennale et/ou le jour critique émotionnel.
ils constituent alors, au moins en partie, des éléments déclencheurs, ou moteurs.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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