lundi 8 février 2010

le dépeceur de Mons

il refait surface avec de drôles de coïncidences septennales :

(SKCenter)
Le dépeceur de Mons, un médecin du coin?

Il s’agit d’une information exclusive RTBF-Le Soir. L’arrestation d’un médecin de la région de Mons relance l’enquête, treize ans après la série de meurtres toujours non élucidés.
Cette arrestation suscite l'intérêt de la cellule 'Corpus' qui possédait les lettres d'un proche dénonçant le médecin montois comme étant le tueur en série.

L’enquête rebondit treize ans après la mort de cinq femmes dont les parties corporelles ont été retrouvés dans des sacs poubelles disséminés dans la région de Mons, un macabre jeu de pistes qui reste toujours une énigme pour les enquêteurs et la fameuse cellule "corpus".

L’arrestation d’un médecin spécialiste "nez-gorges-oreilles" pourrait relancer cette enquête enlisée. Ce médecin de 62 ans a été arrêté pour avoir menacé de mort et agressé une jeune esthéticienne de 27 ans à Boussu dans le Borinage. Il la harcelait sexuellement et lui faisait des présents graveleux.

La jeune victime, excédée, avait menacé le médecin de tout dénoncer à sa femme. L’homme est en détention préventive. Des perquisitions ont été ordonnées au domicile du suspect et à son cabinet. On a saisi plusieurs armes et l'ordinateur familial.

Les soupçons d'un proche

Ce qui relance vraiment l’enquête, ce sont de longues lettres circonstanciées parvenues à la justice montoise en août 2009 et janvier 2010, des lettres signées par un proche du médecin qui accuse le spécialiste ORL d’être le "dépeceur de Mons", ce tueur en série qui a tué Martine Bohn, Jacqueline Leclercq, Nathalie Godart, Carmelina Russo et Begonia Valencia en 1996 et 1997.

Le contenu de ces lettres accusatrices sont des anecdotes, des impressions et des éléments qui permettent à son auteur d’être certain que le médecin est bien le sérial killer. Aucune preuve ne vient confirmer ces impressions. Officiellement pour l’instant, il n'y a aucun lien entre l'agression de l’esthéticienne et le dossier "dépeceur". La cellule "corpus" mène ses devoirs d’enquête. Rappelons que plusieurs noms ont déjà été cités dans cette affaire. Des enquêtes approfondies ont été menées à leur encontre, jusqu'ici sans résultat…

Source : RTBF


Ce qui s'est passé le 26 janvier

Un médecin amoureux agresse une esthéticienne à Boussu
A Boussu, près de Mons, un médecin a perdu les pédales en pleine consultation. Il a agressé une esthéticienne, avec un revolver. Il a été mis sous mandat d'arrêt.

Le médecin qui a agressé au revolver mardi une jeune esthéticienne dans un centre de santé à Boussu a été placé sous mandat d'arrêt pour harcèlement et vol avec violence. Ce médecin de 62 ans s'en était pris à Aurélie, une employée esthéticienne de 27 ans, dans un centre de médecine spécialisée à la rue François Dorzée à Boussu. L'homme, un ORL de renom travaillant dans le même centre de santé que la victime, est entré armé d'un revolver dans le local de l'esthéticienne qui était occupée avec une cliente. "Il a demandé à ma cliente de sortir parce qu'il voulait me tuer," a expliqué la victime.

Il a menacé de se donner la mort

La cliente de l'esthéticienne a tenté en vain de s'interposer pour calmer l'agresseur qui a frappé sa victime d'un coup de crosse à la tête. Le médecin a finalement retourné l'arme contre lui et menacé de se donner la mort. La police boraine est intervenue sur le lieu juste au moment des faits, suite à la plainte déposée par l'esthéticienne pour harcèlement. Il a été interpellé en flagrant délit.

La police a perquisitionné domicile et cabinet.

Mardi, le Dr Jacques Antoine intentait à la vie de la jeune Aurélie, esthéticienne dans un centre médical de Boussu. Ce jeudi, il était placé sous mandat d’arrêt pour harcèlement et vol avec violence.
Le médecin (ORL), qui exerçait à Mons et à Boussu, a été placé sous mandat d’arrêt pour harcèlement et vol avec violence (notamment d’un ordinateur).
Mercredi et jeudi ont eu lieu à son domicile et à ses deux cabinets, des perquisitions menées par la police judiciaire.

Le parquet n’a pas souhaité, à l’heure actuelle, s’exprimer sur l’objet des recherches, mais l’on sait d’ores et déjà que les perquisitions s’annoncent longues et fastidieuses.

“ La police doit être accompagnée d’un responsable de l’ordre des médecins afin de vérifier que le secret médical des documents sur place ne soit pas bafoué ”, nous explique Christian Henry

Source : RTL Info du 28 janvier 2010

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les coïncidences septennales ne sont pas toutes des coïncidences : par exemple le fait que le médecin "pète les plombs" alors qu'il a 62 ans s'explique - si on en tient compte - par l'entrée à ce moment là (62 ans et demi en principe est le pic de pulsions/désihibition) dans la période critique septennale des 63 ans.

la suspicion à propos des faits du dépeceur de Mons remonte à 13 ans (quasi septennal par conséquent) ; l'intéressé étant aujourd'hui devant sa période septennale il en est de même 13 ans auparavant - sachant que les criminels en série ou les autres ont tendance à agir à l'arrivée de leur période septennale... puis le cas échéant à récidiver à ce moment là... on peut se poser des questions...
(il y a 13 ans c'était entrée dans la période critique septennale des 49 ans)

si on est en présence d'un suspect on peut de toute façon passer en revue toutes ses périodes critiques car c'est à ce moment-là qu'il a tendance à agir.
le jour critique émotionnel aussi mais dans le cas présent je n'ai rien trouvé de flagrant. (sauf peut-être mercredi ou plutôt jeudi... à voir)
en période critique le jour critique émotionnel n'est cependant pas forcément présent : il l'est souvent au moment du "démarrage" par contre, c'est à dire le ou les premiers crimes...

la personne agressée ci-dessus a 27 ans et se trouve devant sa période critique septennale des 28 ans : il n'est pas impossible que le comportement particulier lié à cette période y ait été pour quelque chose dans les péripéties médecin/patient... qui sont décrites... on est par exemple bien plus sensible et réactif en période critique septennale.

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