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Disparition à La Chaux-de-Fonds: la police retrouve une mère et son fils
Instable psychologiquement depuis une année suite à une série de drames familiaux, la jeune mère de famille est toutefois consciente d'avoir fait «une grosse bêtise» en disparaissant avec son jeune fils
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De lundi midi à mardi 11 h, la ville de La Chaux-de-Fonds a vécu 24 heures de battue qui ont mis la police neuchâteloise sur les dents: une maman et son jeune enfant avaient disparu. Ils ont été retrouvés dans les montagnes du Jura bernois, sains et saufs. La famille, qui était hier rassurée, a raconté ses heures d'angoisse au «Matin».
«J'ai quitté mon domicile à 11 h, lundi, raconte Antony (19 ans) qui habite La Chaux-de-Fonds. Je pensais retrouver ma mère (43 ans) et mon petit frère Matteo (5 ans) une heure plus tard. Mais de retour chez moi, plus personne. Et plus de voiture. J'ai tout de suite trouvé cela anormal.»
Pas de reproches
Aucun membre de la famille ne fait de reproches à la fugitive. «Ce n'est pas de sa faute. Elle est en dépression depuis une année.
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La famille est davantage révoltée contre le système médical du canton. «Les médecins ont libéré ma maman de la maison de santé de Préfargier (NE) vendredi dernier. Quelques jours après, elle s'enfuyait. Pourquoi l'ont-ils libérée?» s'interroge Antony.
La famille reproche aussi, et surtout, le manque de sérieux de la thérapie psychologique. «Les médecins la bourrent de médicaments, affirme Catia. Je ne suis pas un spécialiste, mais ce n'est pas une solution. La situation ne peut que se régler par une meilleure communication entre ma soeur et ses médecins.»
La famille espère bien que dorénavant la prise en charge psychiatrique sera plus efficace.
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De cette affaire douloureuse reste un espoir: «Que les médecins arrêtent de lui donner tous ces médicaments», rappelle Catia. Et une certitude: «Je suis sa soeur. Depuis le début de sa maladie, nous nous occupons - moi et mon mari - de ses trois enfants. Surtout du fils cadet. En attendant que leur maman guérisse», conclut-elle.
http://www.lematin.ch/actu/suisse/disparait-fils-226215
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si comme il semble ressortir de l'article la personne a 43 ans, il s'agit probablement là aussi d'une dépression septennale qui en principe ne devrait faire que passer : la période critique septennale lors de laquelle on peut sombrer dans une profonde dépression et parfois être gravement perturbé psychiquement se déroule de 41 ans et demi - souvent début des premières manifestations - et jusqu'à 43 ans.
il faut tenir compte du fait qu'il s'agit d'une période naturelle particulière qu'il convient de ne pas systématiquement essayer de faire disparaître au moyen de médicaments : elle fait partie de nos périodes de croissance et de transformations au même titre que la période d'adolescence par exemple. (l'adolescence est la période critique septennale la plus "remarquable" du fait des profonds changements qui s'opèrent durant cette période : les autres périodes critiques, qui surviennent au même rythme tous les sept ans sont très importantes aussi mais moins "voyantes".)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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