lundi 30 novembre 2009

proverbe

j'ai inventé un nouveau dicton :

"le 7ème jour il faut retourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de parler"

mais attention le 7ème jour n'est pas dimanche : c'est notre 7ème jour individuel à chacun, c'est à dire le jour critique émotionnel.
c'est le jour où nous sommes né : né un mardi, mon septième jour sera ma vie durant le mardi (toujours de lundi soir à mardi soir, le jour critique émotionnel démarrant la veille au soir déjà).

pourquoi être particulièrement prudent ce jour là ?

en raison d'un cycle psychique et émotionnel probablement hormonal, il s'agit de notre jour hebdomadaire de "pulsions/désinhibition".

c'est entre autre notre jour de blues, mélancolie, mais aussi de colère. jour de possible agressivité, en raison de ce phénomène de pulsions/désinhibition. nous sommes à la fois poussés à (par exemple provoquer) et désinhibés (notre "raison" ne nous freine pas, ce jour là)...

si l'on observe bien c'est ce jour là, de préférence, que nous pouvons déraper en paroles, que nous pouvons même déraper en gestes... c'est pour cela le jour des disputes et différends, voire des violences, conjugales mais aussi autres, c'est le jour des dérapages verbaux aussi de ceux qui prennent la parole dans la presse et autres médias... par exemple... (radio, télé, vie publique, etc...) s'il y a un écart, vous pouvez le vérifier facilement : il a lieu, en général, le jour de naissance de la personne en question.

connaître ce mécanisme, et s'en souvenir le moment venu, est particulièrement important en famille : couples et enfants aussi... gagnent à garder en mémoire le jour où ils sont "à prendre avec des pincettes" - cela évitera bien des désagréments voire parfois des incidents plus graves...

c'est en raison de ce même principe de fonctionnement (pulsions/désinhinbition) que nous retrouvons probablement majoritairement (1) le jour critique émotionnel lors de toutes sortes de drames, crimes, violences, et que c'est le jour du suicide aussi...



(1)(je dis probablement car j'en suis pratiquement sûr - à force d'observations - bien que personne ne se soit jamais intéressé à la question de façon scientifique ou statistique : çà reste donc un travail à faire, mais dont le résultat pourrait révolutionner notre quotidien...)

Aucun commentaire: