Figaro :
Incendie: le responsable déféré samedi
Lefigaro.fr avec agences
Après la colère des élus et de l'exécutif, c'est au tour de la justice militaire de se prononcer sur le sort du militaire à l'origine du sinistre qui a ravagé les environs de Marseille en début de semaine. Le sous-officier responsable des tirs à balles traçantes dans le camp de Carpiagne doit être déféré samedi matin au parquet militaire de Marseille. Il se voit reprocher des faits de "destruction de biens et de broussailles par violation délibérée d'une obligation de sécurité et violation de consigne militaire". Il encourt cinq ans de prison pour le premier délit, deux ans au titre du second. Les tirs de balles traçantes sont prohibées dans les camps militaires du Sud-Est du 1er mai au 1er novembre.
Cet adjudant-chef, un célibataire de 43 ans natif de La Réunion, légionnaire expérimenté de retour d'une mission en Afghanistan, avait exprimé jeudi devant les enquêteurs ses regrets et s'est déclaré anéanti. Il avait ajouté qu'il n'avait pas eu conscience de contrevenir aux ordres, car personne ne l'avait mis en garde en matière de risques d'incendie."Il alterne des phases d'abattement et de dialogue avec les gendarmes", a précisé une source proche de l'enquête.
Bardé de décorations, ce sous-officier avait reçu la médaille civile des actes de courage et de dévouement pour avoir récemment sauvé une personne sur une autoroute du Sud. Il devait prochainement recevoir la croix de la valeur militaire.
Lors d'un déplacement à Marseille jeudi, le Premier ministre François Fillon avait promis des sanctions à l'issue des enquêtes pour ce qu'il a dénoncé comme étant "des fautes professionnelles graves".
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peut-être serait-il intéressant, rien que par curiosité et pour le côté instructif, pour comprendre aussi, de voir si l'intéressé était dans un jour de grosse bêtise ? (P ou E)
en P (jour critique physique) on est fatigué et distrait et on ne pense pas à tout... on a parfois tendance à "marcher au radar"... c'est plutôt le jour des accidents. en E (jour critique émotionnel) c'est notre jour de mauvaise humeur, notre jour tête de mule ou "envie de tout casser"... et là aussi on peut "n'en faire qu'à sa tête".
j'avais lu ailleurs que l'intéressé avait déjà des démêlés avec son autorité l'année ou les deux années passées : là on sait... que c'est sa période critique septennale des 42 ans. mais aujourd'hui, à 43 ans elle est passée, en principe.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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