mardi 7 avril 2009

violeur

SKCenter :
Accusé de quinze viols et tentatives de viol

L’homme, âgé de 32 ans, aurait commis plusieurs agressions sexuelles en 2005...
Cécilia a été victime d'une tentative de viol au 72, rue Rambuteau. Après avoir placé un couteau sous la gorge de sa victime, Jimmy se ravise et s'enfuit.

Photo : Nicolas Richoffer
Jimmy D., soupçonné de quinze viols et tentatives de viols dans les Ier, IIe, IIIe, IVe, Xe, XVe, XVIIIe et XXe arrondissements, sur des femmes âgées de 17 à 26 ans, est jugé depuis hier devant la cour d’assises de Paris. Il avait été interpellé en juin 2005 rue Saint-Denis, alors qu’il venait de s’en prendre à une jeune fille. Confondu par son ADN et formellement reconnu par la plupart des victimes, il a reconnu les faits.

Même mode opératoire

Sa première victime, Jessy, 19 ans, le rencontre dans le métro en mars 2005. Elle accepte de prendre un verre avec lui dans le quartier de Châtelet, puis ils partent se promener dans un square à proximité des Halles. L’homme change brusquement d’attitude. Il veut un rapport sexuel. Elle refuse. Il lui porte alors un coup de poing puis la viole. Entre le 27 mai et le 24 juin, Jimmy aurait violé ou tenté de violer quatorze femmes après les avoir suivies jusqu’à leur domicile. Sous la menace d’un couteau, caché sous un chapeau et derrière des lunettes de soleil, il les agressait dans le hall ou dans les parties communes de leur immeuble.

“Doux comme un agneau”

Selon un officier de police, l’accusé a beaucoup pleuré pendant sa garde à vue. “Il était très calme et correct, doux comme un agneau”. Ses motivations seraient di­verses : l’absence temporaire de sa compagne, une styliste allemande avec qui il voulait un enfant, un besoin de faire l’amour régulièrement, mais aussi le film Irréversible, de Gaspar Noé, affirme-t-il, l’aurait excité. Son avocate, maître Cotta, rappelle que son client a eu une “enfance extrêmement perturbée”. Placé plusieurs fois en structure d’accueil, abusé sexuellement à trois reprises, Jimmy voulait, selon l’expert psychiatre, “rejouer les scènes traumatiques en ayant toutes les cartes du jeu”.

Source : Métro

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l'essentiel est, à mon avis, dans la première phrase de l'article : période critique septennale des 28 ans.

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