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Il semblerait d'après les traces retrouvées, que c'est devant la porte de l'auteur (présumé) des faits que les victimes ont été abattues". La tuerie aurait pour origine une « simple querelle de voisinage », selon Jean-Michel Bérard, préfet de région qui s'est rendu sur place en même temps que le procureur général Jean-Michel Zirnhelt. Ils y avaient rejoint Jean-Yves Nava, Marc Burg et Laurent Tarasco, respectivement procureur adjoint, sous-préfet et commissaire central de Valenciennes.
Toujours est-il qu'un sexagénaire a subitement tué un homme et une femme, âgés d'une petite vingtaine d'années et originaires de Condé-sur-l'Escaut, venus rendre visite à leur famille qui habite au coron de la Fabrique. Le jeune couple profitait du lundi de Pâques pour présenter son nourrisson, âgé d'une dizaine de jours, à un oncle et une tante.
Ils étaient arrivés vers 16 h 30. Une demi-heure plus tard, les jeunes gens ressortaient, sans le bébé, pour, semble-t-il, mieux garer leur Peugeot break qu'ils avaient rangé devant la maison d'un voisin. C'est alors qu'ils auraient constaté qu'un pneu était crevé. Ils se seraient adressés à Ahmed Assous, 62 ans, qui, pour toute réponse, serait sorti avec une carabine de calibre 30-30, une véritable arme de guerre. Selon diverses sources qui n'ont pas été confirmées officiellement, l'ancien employé municipal de la ville de Denain aurait également tiré en direction d'un jeune de 17 ans, neveu du couple, qui n'aurait pas été touché. Mais un impact de balle a été relevé dans la portière avant d'une 205 stationnée un peu plus loin.
L'homme s'est rendu en sortant de la maison les bras en l'air après un contact téléphonique avec le GIPN (Groupe d'intervention de la police nationale). "C'était un homme qui avait la réputation d'être quelque peu violent et qui avait pu justifier l'intervention de la police", par le passé, a indiqué Jean-Michel Bérard, préfet de région.
L'homme, qui paraissait "calme" lors de son arrestation, "a dit qu'il ne souhaitait pas s'expliquer sur son geste et qu'il réservait ses déclarations au juge", selon le procureur général.
Dans un premier temps, il avait menacé de se suicider en cas d'intervention. Les sept ou huit hommes du GIPN, équipés de boucliers pare-balles, avaient fait mouvement dans un champ, vers la maison de ciment à un étage. Auparavant, un périmètre de sécurité avait été mis en place par le GIPN dans la cité de maisons à un étage, pour secourir les victimes.
"L'intéressé avait été contacté sur son téléphone portable depuis le commissariat central de Lille", a indiqué le préfet de région. "Il y a eu plusieurs échanges, il paraissait à ce moment-là être tout à fait conscient dans ses propos". Les contacts ont été repris peu avant la reddition. "Il avait encore son portable à l'oreille et s'est rendu sans résistance particulière", a ajouté Jean-Michel Bérard.
Seules deux douilles avaient été retrouvées en début de soirée, à proximité des lieux du drame, mais les forces de police devaient encore passer la maison au peigne fin, ainsi que les alentours. L'homme a été placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire régionale, saisie par le parquet de Valenciennes pour les besoins de l'enquête.
Sources : AFP/ 7 sur 7/La Voix du Nord
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tous les nombreux articles hier faisaient état d'un forcené de 65 ans, ce qui m'étonnait un peu : çà peut bien sûr arriver mais très souvent les forcenés agissant sous le coup de la colère ou de la folie... sont des septennaux...
si l'âge cité ici est juste çà colle est c'est plutôt 62 ans donc probablement entrée de la période critique des 63 ans (62 ans et demi : moment pic de pulsions).
autre élément intéressant, le fait que cela arrive en fin d'après-midi le lundi de Pâques : il pourrait s'agir typiquement d'une réaction de jour critique émotionnel de sorte que l'on peut voir si l'intéressé est un natif du mardi car c'est lundi en fin d'après midi qu'il entre dans son jour critique alors, et qu'il y a un moment charnière où les pulsions de colère sont particulièrement importantes (vers/alentours 18H donc 17H horaire actuel.)
âge donc à vérifier, quand même : les coups de folie sont le plus souvent septennaux, mais bien entendu pas systématiquement sans quoi le cycle émotionnel dont je parle serait découvert et connu depuis longtemps... cela dépend aussi des circonstances du scénario bien entendu. par contre la probabilité est forte de trouver une période critique septennale ou à défaut un jour critique émotionnel (souvent les deux sont réunis) : celui-là je peux hélas rarement le vérifier puisqu'il me faut la date de naissance pour connaître le jour de naissance de la personne ; je pense cependant là aussi que ce jour est très souvent en cause car il s'agit de notre jour hebdomadaire de pulsions de l'humeur, et chez beaucoup de personnes il s'agit de leur jour hebdomadaire de colère. parfois çà dérape et si çà dérape c'est de préférence ce jour là. le jour critique émotionnel est le jour de la semaine où l'on est né mais il démarre dès la veille au soir. (il s'agit d'un cycle de l'émotion de 7 jours)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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