mardi 10 mars 2009

suicide

"La Voix du Nord" :
Nouveau suicide à la prison d'Arras : un homme se pend dans sa cellule
mardi 10.03.2009, 04:51 - La Voix du Nord
C'est le second suicide depuis octobre 2008 à la maison d'arrêt d'Arras.

Les gardiens de la prison d'Arras ont découvert, dimanche après-midi, le corps d'un détenu de 45 ans, pendu dans sa cellule. Ce dernier, avait, à Souchez, dans la nuit du 2 au 3 août 2008, tué son épouse de dix-sept coups de couteaux. Il avait manifesté plusieurs fois son désir de se suicider depuis son incarcération.
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L'homme décédé dimanche avait déjà fait savoir plusieurs fois qu'il voulait mettre fin à ses jours. Il avait fait une tentative au moment de sa mise en examen, début août. Il aurait profité d'une heure de promenade accordée à ses trois codétenus pour se pendre avec des draps.
Selon le parquet d'Arras, l'homme était suivi par un psychologue et un psychiatre, et l'affaire judiciaire était encore à l'instruction. Il faisait donc l'objet d'une détention préventive.
Ce nouveau suicide a provoqué l'émoi dans l'enceinte de la prison, notamment parmi le personnel pénitentiaire. « Il faudrait être vingt-quatre heures sur vingt-quatre derrière la porte. Ce n'est pas le cas, même dans les établissements psychiatriques ou les prisons de haute sécurité... » confie un représentant syndical arrageois. •
NICOLAS ANDRÉ

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nul besoin d'être 24H sur 24 derrière la porte... il suffit d'accorder une attention particulière le jour critique émotionnel.

je ne suis pas sûr mais un petit calcul me fait penser que l'intéressé pourrait être un natif du dimanche qui s'est suicidé un dimanche, donc son jour critique émotionnel...

qu'est ce qui me fait penser çà ? en général si on se suicide et on tue... c'est avec une nette préférence le jour critique émotionnel.

le suicide a eu lieu un dimanche...
mais - et c'est précieux pour moi - l'article nous donne la date du drame qui a eu lieu, et pour lequel la personne se trouve en prison. on peut alors vérifier si le drame n'a pas eu lieu le même jour de la semaine.

Ben oui... la nuit du 2 au 3 août 2008... c'est bien... un dimanche !


accessoirement je pense que le conflit et la séparation ayant probablement précédé le drame trouvent une grande partie de leur origine dans le mauvais passage de l'intéressé dans sa période critique septennale des 42 ans.

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