mercredi 11 mars 2009

sniper suicidé

Librairie 3ème oeil :

Le tireur fou du XIIIème arrondissement de Paris possédait de nombreuses armes et un permis en règle

" Le forcené, mort après avoir tiré sur un passant et un policier, était suivi en psychiatrie et parallèlement inscrit dans un club de tir. Il possédait de nombreuses armes chez lui.

C’est un homme mort que les policiers de la BRI (brigade de recherches et d’intervention) ont découvert hier au douzième étage d’un immeuble du boulevard Auguste-Blanqui, dans le XIII e arrondissement de Paris. François G., un forcené de 45 ans qui avait tiré sur un passant le matin, avant de se retrancher chez lui en prenant sa propre mère en otage, est vraisemblablement décédé lors d’un échange de coups de feu avec les policiers.

A moins qu’il ne se soit lui-même donné la mort, ce que devrait déterminer l’autopsie ce matin.

Vers 8 heures, François G., soigné depuis plusieurs années à l’hôpital Sainte-Anne pour des problèmes psychiatriques, et qui a interrompu son traitement voici quelques jours sans qu’on en connaisse les raisons, déambule en bas de chez lui. Très agité depuis la veille, l’homme est armé d’un pistolet de calibre 7,65 qu’il pointe vers le premier venu. A deux reprises, le forcené tire sur sa victime, qui parvient, blessée, à se réfugier à la station de métro.

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Qui était vraiment François G. ? Tour à tour décrit comme « étrange », « effrayant », sujet à des crises de rage et capable, comme la nuit précédant le drame, de sonner à la porte de ses voisins, une arme à la main, il pouvait aussi présenter un autre visage. Celui d’un homme « touchant » et « cultivé », selon l’un de ses proches. Les policiers vérifiaient hier si cet homme aurait pu être l’auteur des lettres de menaces reçues par plusieurs élus."

Un article de Cécile Beaulieu & Jean-Marc Ducos.

Source : LE PARISIEN (10 mars 2009)

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le sniper s'est finalement suicidé.
il serait intéressant de vérifier s'il est passé à l'acte son jour critique émotionnel. ce n'est pas impossible puisque ce jour est souvent le déclencheur de comportements de folie.
en outre il démarre la veille au soir et dans l'article il est dit que l'intéressé est très agité depuis la veille...
pas de période critique par contre, sauf si les problèmes remontent à celle des 42 ans ce qui est fort probable puisque l'intéressé était soigné en psychiatrie, et qu'il aurait 45 ans. il est entré dans une période critique à 41 ans et demi.

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