Le vendangeur retrouvé pendu ne se serait pas suicidé
Sept personnes ont été interpellées, accusées d’avoir participé au meurtre d’un jeune homme retrouvé pendu à l’automne après une fête des vendanges dans l’Anjou.
«On n'a jamais eu de doute, c’est un soulagement. » A l’image de sa grand-mère Monique, la famille d’Aurélien Pioger a toujours refusé de croire au suicide. Près de cinq mois après la mort de ce jeune homme de 28 ans, retrouvé pendu dans un appentis au milieu des vignes à Saint-Lambert-du-Lattay (Maine-et-Loire), la mise en examen, vendredi à Angers, de sept personnes dont quatre pour « meurtre », « violences aggravées » et « séquestration », est venue conforter les convictions de ses parents, persuadés que la justice tient les responsables de la mort brutale de leur fils.
Déchaînement de violence
Parmi les mis en cause, la propre fille du vigneron chez qui Aurélien venait d’achever les vendanges, et l’ex-petit ami de celle-ci. Ils sont soupçonnés d’avoir participé, ainsi que deux autres hommes, au passage à tabac de leur compagnon cueilleur, de l’avoir séquestré et tué avant de maquiller sa mort en suicide. « Peu ou prou, ils reconnaissent la matérialité des faits, sauf le meurtre », a indiqué Brigitte Angibaud, la procureure de la république d’Angers.
Le dimanche 19 octobre dernier, c’est un chasseur qui avait découvert le corps d’Aurélien, au lieu-dit le Moulin-des-Godissards, sur les hauteurs de l’Hyrôme, la jolie rivière qui traverse Saint-Lambert-du-Lattay. Dans ce bourg viticole, la rumeur s’était fait l’écho de doutes émis par les gendarmes sur les causes réelles de la mort du jeune vendangeur. Avant de s’éteindre. « Ça ne concernait pas des vignerons de chez nous et les voisins avaient été invités à ne pas causer », justifie un habitant.
Dans un premier temps, l’enquête va d’ailleurs conclure à un suicide, mais plusieurs incohérences sont relevées par le parquet, notamment des marques de coups apparues sur le visage de la victime. « L’autopsie a révélé qu’elle avait été frappée violemment et séquestrée pendant plusieurs heures », a précisé Brigitte Angibaud, évoquant également des contradictions dans les témoignages recueillis.
Le vendredi précédant la découverte de son cadavre, Aurélien avait participé à une fête marquant la fin de la récolte en compagnie d’une dizaine de vendangeurs, chez un viticulteur de la Jumellière, une commune située à quelques kilomètres de Saint-Lambert-du-Lattay.
Autour d’un feu de camp, alcool et stupéfiants circulent avant que les esprits ne s’échauffent. Histoire de coeur ? De relation sexuelle non consentie, comme le prétend une autre femme mise en cause ? Aurélien se retrouve au coeur d’un déchaînement de violence collective. La suite reste floue. Les personnes mises en examen affirment avoir quitté le jeune homme en vie. Comment, dès lors, celui-ci s’est-il retrouvé dans ce lieu isolé, à proximité d’une parcelle appartenant à son employeur saisonnier ? Les investigations doivent se poursuivre.
Source : Le Parisien
===========================
quand on retrouve un pendu de 28 ans j'ai effectivement tendance à me poser de suite la question d'un suicide : la période critique septennale des 28 ans peut être pour certaines personnes une période de grande fragilisation et c'est une typique période de suicide.
mais... on a pu maquiller un crime effectivement... aussi...
je pense encore à d'autres scénarios possibles, du fait de la situation en période critique septennale de l'intéressé : celle-ci peut ne pas être étrangère à une altercation suivie d'une bastonnade... à 28 ans on peut être fort provocateur, preneur ou participant....
si ensuite il s'en suit une bagarre il n'est pas impossible non plus que l'intéressé ait été choqué, au point d'aller se pendre un peu plus loin...
le jour critique émotionnel serait intéressant aussi : mais sa présence pourrait tout aussi bien aller dans le sens d'une agressivité contre les autres mais aussi contre soi...
enfin, la situation des cycles des autres personnes mises en cause serait intéressante à observer car elle aussi peut révéler un état ou une situation "à risque", si les personnes se trouvent en période critique septennale ou en jour critique émotionnel, parfois jour critique physique. on est alors bien plus enclin à la bagarre, voire à la violence...
édit 26/11/2009 :
"Une expertise révèle que la pendaison d'un vendangeur était un meurtre déguisé"
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=31597
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
pages
- Accueil
- bonjour !
- en résumé
- apprenons à utiliser
- analyser
- effets
- modification de nos paramètres
- années de vie
- jours critiques des rythmes courts
- épisodes critiques semestriels
- périodes critiques des cycles longs
- pulsions/désinhibition
- rythmes et cycles
- cycles de l'humeur
- dépression
- prévention des drames
- prévention du suicide
- suicide sur RV
- prévention des accidents
- biorythmes
- jour critique émotionnel
- glossaire
- ce qu'il est utile de savoir avant d'être mal...
- rythmes courts à voir
- éléments moteurs
- éveil
- en pratique "petit guide"
- le secret des faits divers
- pulsations du vivant
- sauts évolutifs
- violences et drames conjugaux
- disparitions
- questionnements
- similitudes
- pédophilie septennale
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire