drame familial de Saguenay

http://www.jminforme.ca/national/article/608518

Cathie Gauthier est citée à procès pour meurtres et aide au suicide
Publié à 13h40 le jeudi 19 mars 2009
LA PRESSE CANADIENNE
SAGUENAY - Cathie Gauthier, 35 ans, de Saguenay, est citée à procès sous des accusations de meurtres prémédités de ses trois enfants et pour avoir aidé son conjoint à se suicider.

Jeudi, au Palais de justice de Saguenay, le juge Rosaire Larouche a interrompu la plaidoirie de l'avocat de la défense en l'avisant qu'il y avait tous les éléments nécessaires à la tenue d'un procès.

La date du procès sera fixée le 6 avril.

Plus tôt jeudi matin, lors de son enquête préliminaire, Cathie Gauthier a craqué. La femme de 35 ans a dû quitter la salle tant elle a été troublée par l'audition de l'appel qu'elle a fait le premier janvier au 9-1-1.

Constatant l'état de l'accusée, le juge Rosaire Larouche a accepté la demande de l'avocat de la défense de poursuivre l'audition de l'enregistrement sans la présence de Cathie Gauthier.

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deux éléments intéressants dans cet article : la situation en période critique septennale de l'intéressée mais aussi le fait que le drame a eu lieu le 1er janvier 2009, un jeudi ... et que la personne ait craqué aussi un jeudi... : or on a tendance a passer à l'acte mais aussi à craquer plutôt le jour critique émotionnel...
(c'est arrivé à Geneviève Lhermitte - quintuple infanticide de Nivelles - qui a tué ses enfants son jour critique émotionnel un mercredi et a aussi craqué ce jour là, devant le Tribunal...)
ce peut être une coincidence, mais l'examen de la situation biorythmique des personnes permet souvent de mieux comprendre ce qui a pu se passer et pourquoi...
car on se suicide aussi, de préférence, son jour critique émotionnel...
cependant le drame étant arrivé dans la nuit du jeudi à vendredi ce serait plutôt le vendredi qui est à prendre en compte...

édit 21/03 :
yahooactuquébec :
SAGUENAY-LAC-SAINT-JEAN (RC) - Cathie Gauthier-Lachance, la mère de famille de 34 ans qui a survécu au drame familial qui a coûté la vie à ses trois enfants et à son mari le 1er janvier, à Saguenay, est remise en liberté. Elle devra rester toutefois en permanence dans une maison de thérapie pour femmes, pour la durée de son procès.
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à 34 ans ils ont à mon avis bigrement intérêt à la surveiller... en particulier son jour critique émotionnel...34 ans et demi est le moment le plus "à risque", celui de l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans.