Hérault
Drame familial : Michel Bonnet tué par sa compagne
DR
Trois coups de feu sont venus briser le silence de l'avenue de Mèze, vendredi soir vers 18 h 10, dans la petite commune de Pomérols, près de l'étang de Thau (Hérault). Trois déflagrations qui ont immédiatement attiré la foule au numéro 27 de cet axe fréquenté, où sont domiciliés Michel Bonnet, l'enfant du pays, et sa compagne.
Trois coups de revolver qui se sont avérés meurtriers pour la victime, auteur, compositeur, interprète, ayant connu mille métiers tout au long de sa vie. Un drame familial que les gendarmes de la brigade de recherches de Pézenas, saisis de l'enquête, ne s'expliquent pas. Certes, le couple connaissait une relation chaotique ponctuée de séparations et de réconciliations depuis de nombreuses années. Mais de la à imaginer que celle-ci pourrait se terminer dans le sang !
Selon les premiers éléments de l'enquête, pour une raison indéterminée, la concubine de Michel Bonnet aurait fait feu sur lui à l'aide d'une ancienne arme de poing, un vieux revolver qui appartenait à la famille depuis longtemps. Touchée mortellement à différents endroits de la partie supérieure du corps, la victime, âgée de 62 ans, est décédée des suites de ses blessures, malgré l'intervention rapide des sapeurs-pompiers de Florensac.
Alertés par la compagne, juste après les faits, les pompiers ont découvert le corps de Michel Bonnet, inconscient et en état d'arrêt cardio-respiratoire. Et malgré le travail de réanimation en attendant l'arrivée du médecin du Smur, l'homme n'est pas revenu à lui. Le peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie a procédé, à 18 h 25, à l'interpellation de l'auteur présumée des coups de feu, âgée de 36 ans, qui n'a opposé aucune résistance et qui aurait reconnu avoir tiré. L'arme était déposée au pied du lit conjugal. Placée en garde à vue, la compagne était toujours entendue, hier soir.
Laurent VERMOREL
(MidiLibre.com)
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18H10 est le moment pic auquel on entre dans une nouvelle journée biorythmique (la journée biorythmique va de 18 heures le soir à 18 heures le lendemain soir) . le moment où les pulsions sont les plus fortes. il serait intéressant de savoir si l'auteure est native du samedi (mais la victime peut aussi l'être et être en cause dans un crescendo) : alors c'est jour critique émotionnel, souvent jour de ce type de drame.
mais il y a aussi la compatibilité des deux personnes : l'une qui sort de sa période critique septennale des 35 ans et l'autre qui entre dans la sienne des 63 ans... (à 62 ans et demi plus précisément) d'où peut-être des problèmes qui ont démarré avec les 34 ans de la dame.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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