vendredi 20 février 2009

drame familial

Il tue son fils autiste et se suicide C'est un terrible drame familial qui s'est déroulé la semaine dernière à Reims. Un homme a tué son fils autiste avant de se donner la mort. Sa femme, en stade terminal d'une grave maladie, est décédée deux jours après avoir appris la nouvelle. Trois mêmes noms sur le registre des décès de l'état civil… Trois noms, ceux d'une même famille, tous morts la semaine dernière à Reims. Le drame resté discret jusqu'à présent est apparu hier au grand jour à travers un vulgaire acte administratif : David Cathrin, 34 ans, André Cathrin, 63 ans, et Nadine Cathrin, 59 ans, sont décédés dans la semaine du 9 au 15 février.
.........Selon les éléments de l'enquête réalisée sur les lieux du drame et dans l'entourage des victimes, la découverte des corps s'est faite le lundi 9 février, 4 rue de Turenne dans le quartier Val-de-Murigny à Reims. Au cinquième étage de l'immeuble, les voisins ont vu débarquer dans l'après-midi pompiers et policiers. À l'intérieur, derrière la porte A, le corps d'un homme, André Cathrin, avec une arme à feu à ses côtés. Dans la chambre, son fils mort, tué par la même arme à feu. « Il s'agit d'un drame familial », explique Madeleine Simoncello, la procureur de la République. « L'enquête a montré que l'homme a tué son fils malade avant de mettre fin à ses jours. La mère était atteinte d'une grave maladie et elle est morte deux jours après qu'on lui ait annoncé ce drame. ». André Cathrin, était coiffeur et tenait un petit salon de quartier dans la rue Marie-Stuart à proximité du centre-ville. Son fils, David, était touché par les symptômes de l'autisme tandis que sa femme, Nadine, était hospitalisée pour une grave maladie au stade terminal.
Difficile de savoir ce qui a motivé le geste du père.
http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/254321/Il_tue_son_fils_autiste_et_se_suicide
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drame familial ... et période critique septennale vont le plus souvent de pair :
ici le père a 63 ans et se trouve en pleine période critique. ce qui a motivé le geste du père c'est probablement le désespoir, mais le déclencheur je pense que c'est sa situation en période critique septennale... à voir encore un autre élément fréquent : jour critique émotionnel.

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