suicide en prison

LeParisien.fr :
Le malaise s’aggrave dans les prisons

Deux nouveaux suicides portent à plus de cent le nombre de prisonniers qui se sont donné la mort cette année en détention. En outre, la Commission nationale de sécurité a rendu un rapport accusant l’administration pénitentiaire après l’agression d’un détenu.

Sale temps pour l’administration pénitentiaire. Deux nouveaux cas de suicide ont été révélés hier, portant à plus de cent le nombre de personnes qui ont mis fin à leurs jours en détention depuis le début de l’année. De son côté, la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) a rendu public un rapport très sévère sur l’agression d’un détenu à Nîmes (Gard), en 2006, en avançant l’hypothèse d’une connivence de certains surveillants.

Le premier suicide remonte à jeudi dernier à la maison d’arrêt de Fresnes (Val-de-Marne). Un homme de 43 ans, mis en examen pour le meurtre de sa femme et de ses jumelles poignardées en juillet 2006 au Pré-Saint-Gervais (Seine-Saint-Denis), s’est étouffé dans sa cellule avec un sac en plastique. Dépressif, il était suivi au centre médicopsychologique de Fresnes. Le second suicide a été découvert lundi à Seysse (Haute-Garonne). Seul en cellule et considéré comme perturbé, un homme de 41 ans, soupçonné de meurtre, s’est pendu.
................
..........
=========================

les deux cas cités ont un lien avec la période critique septennale des personnes.

il s'agit ici de la période critique des 42 ans : elle y est certainement pour quelque chose dans la drame familial qui a coûté la vie à la femme et ses deux enfants de l'intéressé (il avait 41 ans à ce moment là et c'est l'entrée - pic de tension maximum - dans la période critique septennale des 42 ans)
il n'est bien-sûr pas sorti de sa dépression depuis ce moment là.

quant au second suicide, à 41 ans l'intéressé se trouvait lui aussi à l'entrée de sa période critique, ce fameux moment où la tension est à son maximum en raison des pulsions qui surviennent.

on pourrait vérifier le jour critique émotionnel des intéressés car c'est à ce moment là que l'on a le plus tendance à passer à l'acte : c'est ce jour là qu'il faut accorder une attention accrue.